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VOYAGE AU PEROU Du 23 août au 16 septembre 2003 | |
Itinéraire
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VIDEO COMPLETE DU VOYAGE |
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Informations générales :
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LIMA | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DE LIMA Sources : http://whc.unesco.org/fr/list/500 Le Centre historique de Lima – la « Ciudad de los Reyes » (Ville des Rois) – est situé dans la vallée du Rímac. La ville a été fondée par le conquérant espagnol Francisco Pizarro en janvier 1535 sur les territoires dirigés par la chefferie de la vallée du Rímac. Lima a été la capitale politique, administrative, religieuse et économique de la vice-royauté du Pérou et la ville la plus importante des territoires sous domination espagnole en Amérique du Sud. Elle a joué un rôle de tout premier plan dans l’histoire du Nouveau Monde, de 1542 jusqu’au XVIIIe siècle, lorsque les créations des vice-royautés de la Nouvelle-Grenade (1718), et surtout de La Plata (1777), mirent graduellement fin à l’omnipotence de la plus ancienne colonie espagnole en Amérique du Sud. Le processus d’évangélisation entraîna l’arrivée de plusieurs ordres religieux vers la fin du XVIe siècle. Ceux-ci reçurent un accueil très favorable qui se traduisit par la construction de nombreux et vastes couvents et églises très élaborés. Des hôpitaux, des écoles et des universités furent également construits. C’est ainsi que l’Université San Marco a été construite en 1551. La vie sociale et culturelle de la ville était organisée à l’intérieur de ces lieux, ce qui donna au Centre historique un caractère conventuel caractéristique de l’aspect de la ville jusqu’à la moitié du XXe siècle. C’est là que se développèrent une création et une production artistiques de très haut niveau, dont l’influence se fit sentir dans la plupart des régions d’Amérique du Sud. La mutation démographique depuis la ville coloniale jusqu’à nos jours explique les importantes modifications du paysage urbain. Il ne reste en effet que peu de traces du Centre historique de Lima dans la métropole d’aujourd’hui, à l’exception de quelques remarquables ensembles : la Plaza de Armas (avec la cathédrale, la chapelle Sagrario, le palais archiépiscopal), la Plaza de la Vera Cruz avec Santo Domingo, et surtout le complexe monumental du couvent de San Francisco. Bien que les aménagements urbains du XXe siècle, et notamment le percement, en 1940, de l’Avenida Abancay, aient rogné cet immense domaine, San Francisco présente encore un ensemble de bâtiments conventuels remarquable par son étendue, sa cohérence, la beauté de l’architecture et la richesse du décor intérieur. Nombre de constructions et ouvrages d’art édifiés pendant la période de la vice-royauté sont aujourd’hui d’importants monuments historiques, comme le pont de pierre sur le Rímac, le Paseo de Aguas, la Alameda de los Descalzos et la Plaza de Toros de Acho, situés dans le district actuel de Rímac, et le Cimetière général, actuellement appelé Presbítero Matías Maestro. Au XVIIIe siècle, la ville était entourée de murs qui persistèrent jusqu’en 1870. Au cours de cette période, l’architecture de Lima a changé à la suite de plusieurs forts tremblements de terre en 1586, 1687 et 1746. Les bâtiments ont donc été stabilisés avec du pisé et des briques au rez-de-chaussée et de la quincha (utilisée à l’époque préhispanique) au premier étage, ce qui a amélioré le comportement des structures lors des séismes. L’architecture civile s’est alors caractérisée par des façades, des halls, des patios et en particulier des balcons fermés en porte à faux, qui ont peu varié de style et de genre pendant la période républicaine, jusqu’à la fin du XIXe siècle. Ce fut alors le point de départ de la « modernisation » urbaine et l’introduction de nouveaux styles d’architecture inspirés par l’Europe. Les monuments historiques (édifices religieux ou civils comme le palais Torre Tagle) situés dans le périmètre du site du patrimoine mondial, datent des XVIIe et XVIIIe siècles et sont des exemples typiques du style baroque hispano-américain. L’architecture des autres bâtiments est souvent représentative de la même époque, de sorte que – malgré l’insertion dans l’ancien tissu urbain de constructions du XIXe siècle (telle la Casa Courret de style Art nouveau) – ce noyau historique de la ville est évocateur de Lima telle qu’elle était à l’apogée du Royaume espagnol du Pérou. |
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La plaza de Armas ou plaza Mayor à LIMA. La plupart des places dans les villes et les villages se nomme ainsi : la place des armes. Il ne reste plus rien des vestiges du tremblement de terre de 1746, et entièrement rénovée en 1997. Des monuments néo-colonialistes entourent la place. | |
La
Ville de LIMA, fut fondée par le fameux Pizarro en janvier
1535 sous le nom de la ville de Ciudad de los Reyes (les rois mages !
!). Malheureusement il ne subsiste pas grand chose de cette
époque du fait des tremblements de terre. La Plaza de Armas a été entièrement rénovée en 1997, sur la place se situe le palais du gouverneur, la relève de la garde, le dimanche est un moment fort en couleurs. Comme on le voit à gauche, les transports sont d'époque . |
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AREQUIPA | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DE AREQUIPA Sources : http://whc.unesco.org/fr/list/500 Le centre historique d’Arequipa, situé dans la province d’Arequipa,
au pied de trois volcans aux cimes enneigées, représente la réponse
intégrée des mains et des techniques et caractéristiques de construction
avec les créations européennes, qui s’exprime à travers l’œuvre
admirable des maîtres coloniaux et des maçons indiens. Cette combinaison
d’influences alliée à la réponse à l’instabilité du sol due à
l’activité sismique, est illustrée par les murs robustes, les arcades,
les porches, les voûtes, les cours et les espaces ouverts, avec une
forte influence autochtone dans la décoration baroque et élaborée des
façades. |
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Une panne de bus sur la transpanamaricaine, nous oblige à nous arrêter plusieurs heures. Un dépannage de fortune et nous repartirons. | Le fameux El Misti 5822 m, couvert de neige et dont les premiers habitants, les Aymaras ont donné le nom à Aréquipa "l'endroit derrière la montagne pointue" |
L'hôtel Colonial situé 114 rue Puente Grau. On y prend le petit déjeuner sur le toit, ce qui est très agréable. colonialhouse@hotmail.com | Sur la terrasse de l'hôtel Colonial, face aux volcans |
CABANACONDE | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DE CABANACONDE Sources : http://www.pablotour.com/fra/col_index.html L'histoire de la région Collaguas, dans laquelle est
situé le canyon du Colca, commence approximativement en l'an 200 de
notre ère, avec une population réduite divisée en noyaux familiaux. |
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Un arrêt imprévu sur la route entre Arequipa et Cabanaconde. Durant la nuit précédente, il y a eu un tremblement de terre, très courant dans ces contrées. Donc la route est coupée. Nous attendrons près de 5 heures avant que la route soit réparée. | Une promenade dans le village de Cabanacondé. Le village a gardé toute son authenticité |
L'hôtel Talle Del Fuego Pablo est au centre du village. Pas de touriste, mais c'est du vrai. Paolino Hunco, le proprio, connait bien la région, il vous donnera des tuyaux. | Le
village est situé à plus de 3200 mètres. Pour y
aller, nous passerons un col à plus de 4800 mètres. |
Les villageois se déplacent à cheval | Dans le bus qui nous emnène au canyon de Colca, voir les Condors géants des Andes |
C'est l'un des plus profond canyon du monde ! ! |
Nous randonnons plus de 4 heures à plus de 3500 mètres pour aller voir les condors géants à la croix des condors. Au fond, le fameux volcan Sabncaya (5975 mètres) entré en éruption en 1990. |
Nous y verrons les condors géants voler au dessus de nos têtes, à la Croix du Condor. Pour les voir, le mieux est d'y aller le matin vers 9h car les thermiques sont favorables à leur envol. | Les vols de condors au dessus de nos têtes. |
CHIVAY | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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Arrivée dans Chivay | Une promenade dans le village |
L'une des nombreuses églises du village | Une villageoise en habit local et son enfant. |
Un artisan couturier | Une coiffe typique des Incas |
Les enfants du village très sympas. Sans doute ne voient-ils pas beaucoup de touriste | Une fabrique de blocs de torchis pour la construction locale, les blocs sèchent au soleil |
PUNO au bord du lac TITICACA (3830 m) | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DE PUNO Sources : http://www.rico-perou.com/Tourisme/puno.php Le principal attrait touristique de Puno est le Lac Titicaca, situé dans le Plateau du Collao. Ses eaux offrent une grande richesse ichtyologique. On y voit un paysage grave et grandiose. Les impressionnants paysages enneigés de la Cordillère Real lui confèrent une atmosphère lourde en mystère. Le lac Titicaca (Titikaka) Titikaka signifie en Aymara (dialecte) "Pumas gris". Le lac se trouve à 6 patés de maisons de la Place de Armas de Puno et 7 minutes environ à pied. Le Titicaca est le lac navigable le plus haut au monde (3.810 mètres de hauteur), avec une surface approximative de 8.560 km², une longueur de 194 km et une largeur moyenne de 65 km. Dans les zones où sa profondeur dépasse les 25 mètres ses eaux sont de couleur bleue et dans les moins profondes il a la couleur verte diaphane que lui donnent les plantes aquatiques. Depuis le port de Puno vous pouvez prendre part aux excursions vers les îles : .Les Uros On dit que les Uros, peuple de grande force physique qui habite sur les îles artificielles en Totora (plante aquatique), sont des descendants de la race la plus ancienne d'Amérique. L'île se trouve à environ 15 minutes en bateau à moteur Les Uros est un regroupement de plusieurs petites îles artificelles qui à elles, constituent un véritable village flottant. Ces îles, les batisses et leurs embarcations entre autres sont aussi fait en totora séchée. Les Uros abritent un peuple qui par leurs mysterieuses coutumes et mode de vie sont devenus une puissante attraction touristique. |
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A 1000 km en bus d'Arequipa en passant par l'Altiplano avant d'arriver à Puno. | Plateau andin à plus de 3000 m, on y observe des troupeaux de lamas |
Les berges du lac Titicaca avec le Yatari | Les iles flottantes du peuple des Uros faites
en totoras (roseaux). Unique au monde, surtout à ne pas rater,
même si des touristes sont parmi vous. La vie ds Uros et totalement
liée au totoras. Ils s'en servent pour construire leurs
embarcations. Tout est fait à base de totoras.
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La Yatari, le plus ancien bateau à moteur du lac Titicaca. Construit en pièces détachées en Angleterre en 1862. Les 2766 pièces de métal furent acheminées par mer en contournant le Cap Horn jusqu'à Arica puis par train à Tacna et à dos de mules à travers les Andes jusqu'à Puno. Il y fut ensuite assemblé et mis à l'eau le jour de Noël 1870. | Depuis 1998, une association tente de récolter des fonds afin de le faire naviguer. Mais à ce jour seule une représentante reste à bord |
Le soir on y trouve les petits vendeurs de soupe. | Une vue de notre hôtel Europa. |
L'ILE D'AMANTANI ( sur le Lac TITICACA) | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE D'AMANTANI Sources : http://www.rico-perou.com/Tourisme/puno.php C'est une île assez peuplée comparée aux deux précédentes (4000 habitants), elle est aussi placée bien plus loin (4 heures environ). La principale activité d'Amantani est l'agriculture et sa valeur ethnique et culturelle. |
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L'île d'Amantani, vue du village |
Vue sur la maison de nos hôtes, d'une grande gentillesse. Ils n'ont pas grand chose, mais partagent le peu qu'ils ont. L'hospitalité prend ici toute sa valeur. |
Une autre vue de la maison de nos hôtes. | Nous cherchons les commodités ! ! |
La maison (pièce) mise à notre disposition.un lit, une table et deux chaises. Ne pas espérer écouter la radio ou voir la TV. | Notre hôte Ines en habit traditionnel, avec de magnifiques broderies |
On nous offrira en guise d'apéro, du mate de serpolet, et oui...
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Bien entendu, seule la bougie nous éclaire. Les veillées seront courtes, en plus il fait vraiment très froid. On se demande comment les gens du coin font pour vivre ici. |
Nos hôtes nous vêtiront d'habits traditionnels et nous irons danser avec les gens du village, dans une "salle des fêtes". Seules des lampes à pétrole éclaireront la pièce. Mais cette authenticité est vraiment inoubliable. Nous recommadons cette expérience | |
La famille qui nous a aceuilli durant 2 jours. | La petite fille, les vêtements traditionnels |
ILE DE TAQUILE ( sur le Lac TITICACA ) | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DE TAQUILE Sources : http://www.rico-perou.com/Tourisme/puno.php A 2 heures et demie environ de Puno. Les habitants de île de Taquile ont conservé leurs traditions vieilles de centaines d'années, notamment pour le tissage et donc la qualité du tissu local. Sur Taquile, ce sont les hommes qui tricotent, vous pourrez d'ailleurs vous en apercevoir lorsque vous aurez gravi les centaines de marches menant au village. Il n'est pas conseillé de courir car le manque d'oxygène vous fera vite décélérer... |
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A l'arrivée il y a une taxe d'entrée (!) de 1 US$,. Les habitants de Taquilé sont autonomes et gèrent l'économie de leur île. | |
Ici se sont les hommes qui tricottent | Un habitation locale |
Plus de 700 marches pour arriver au village. Monter ces marches à plus de 4000 mètres requière du souffle. Les femmes transportent les marchandises qui arrivent par bateau. Ces marchandises sont portées à dos de femme, nous en avons vue avec 1 bouteille de gaz comme nous en avons chez nous. | |
ILES DES UROS - Iles flottantes de totoras (roseaux) | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DES UROS Sources : http://www.rico-perou.com/Tourisme/puno.php On dit que les Uros, peuple de grande force physique qui habite sur les îles artificielles en Totora (plante aquatique), sont des descendants de la race la plus ancienne d'Amérique. L'île se trouve à environ 15 minutes en bateau à moteur Les Uros est un regroupement de plusieurs petites îles artificelles qui à elles, constituent un véritable village flottant. Ces îles, les batisses et leurs embarcations entre autres sont aussi fait en totora séchée. Les Uros abritent un peuple qui par leurs mysterieuses coutumes et mode de vie sont devenus une puissante attraction touristique. |
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L'île flottante principale |
Bateau fait de totoras, leur durée de vie est de 2 ans au mximum. |
Promenade en bateau fait de totoras avec les Uros. | Le principe pour faire avancer le bateau est identique à celui des gondoliers à Venise. |
Un enfant sur l'une des îles habitée pour la journée par les Uros | |
Une école sur l'île principale. | Un Uros sonde l'épaisseur de son île au travers la couche de totoras, nous avons pu constater que l'épaisseur était d'environ 1 mètre |
SILLUSTANI - Près de Puno | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DE SILLUSTANI Sources : http://www.rico-perou.com/Tourisme/puno.php À 30 km de Puno, capitale du département, on trouve les Chullpas de Sillustani, qui ont été des tombes des chefs Hatuncollas (grands hommes), et beaucoup d’autres vestiges d'anciennes cultures qui ont habité la région. tout ceci aux bords de la lagune Umayo. |
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Tombeau Inca (hauteur de 12 m) à l'époque des Yamaris. Un petit trou aménagé sur le toit permettait aux âmes de voyager vers l'autre monde. |
Sur les bords du Lac Umayo, on
peut y observer les foulques géantes des Andes, des ibis de puna
et des oies des Andes.
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Un moment d'écoute
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Un paysage grandiose sur le lac Umayo |
Lama, Alpaga, Vigogne ou Guanaco, difficile au premier coup d'oeil non averti ! | |
Nous dégustons d'une des 150 variétés de pomme de terre, dont l'origine est le Pérou |
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CUZCO | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DE CUZCO Sources : http://whc.unesco.org/fr/list/273 La Ville de Cuzco est située à 3 400 m d’altitude, dans une vallée alluviale fertile arrosée par plusieurs rivières, au cœur des Andes péruviennes d’Amérique du Sud. Sous le grand Inca Pachacutec (d’abord nommé Tito Cusi Yupanqui), au XVe siècle, la ville a été redessinée et transformée après une longue occupation pré-inca de plus de 3 000 ans. Elle est ensuite devenue la capitale de l’Empire inca (Tahuantinsuyu), qui couvrait une grande partie des Andes d’Amérique du Sud entre le XVe et le XVIe siècle. La cité impériale des Incas s’est développée pour devenir un centre urbain complexe avec des fonctions administratives et religieuses distinctes parfaitement définies, réparties et organisées. Les édifices religieux et publics étaient entourés des résidences réservées aux familles royales – ensemble urbain symbolique sans précédent. Les techniques de construction en pierre possédaient des qualités esthétiques et structurelles exceptionnelles, comme en témoignent le Temple du Soleil ou Coricancha, l’Acclahuasi, le Sunturcancha, le Cusicancha et une série de bâtiments extrêmement élaborés qui font de cet enclos inca l’unité indivisible de l’urbanisme inca. La cité réservée à la noblesse était clairement isolée de zones précisément délimitées pour la production agricole, artisanale et industrielle, ainsi que des quartiers voisins. Les plans et monuments préhispaniques de la cité impériale des Incas sont encore visibles aujourd’hui. Lors de la conquête espagnole au XVIe siècle, la structure urbaine de la ville impériale de Cuzco a été préservée et des églises, des monastères et de belles demeures ont été édifiés au-dessus de la cité inca. Ces bâtiments étaient pour la plupart de style baroque avec des adaptations locales, ce qui a créé une configuration mixte unique et de grande qualité représentant la juxtaposition initiale et la fusion de différentes périodes et cultures, ainsi que la continuité historique de la ville. Le syncrétisme remarquable de cette ville est évident, non seulement dans sa structure matérielle, mais aussi dans l’expression artistique de la vice-royauté. La ville est devenue l’un des plus importants centres de création et de production d’art religieux du continent. Elle est également importante pour les coutumes et les traditions de sa population, qui préserve en grande partie ses origines ancestrales. De son passé complexe, tissé de grands événements et de belles légendes, la ville a conservé un ensemble monumental remarquable et une grande cohérence ; elle constitue aujourd’hui un prodigieux amalgame de la capitale inca et de la ville coloniale. De la première, elle préserve d’imposants vestiges et en particulier son plan : murs de granit ou d’andésite méticuleusement appareillés, rues rectilignes filant entre les murs, et ruines du Temple du Soleil. De la ville coloniale, subsistent les maisons basses fraîchement blanchies à la chaux, le palais et les merveilleuses églises baroques où se réalise l’impossible fusion des styles plateresque, mudéjar ou churrigueresque avec ceux de la tradition inca. |
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Le Perou Rail, met 10 heures pour rejoindre Puno à Cuzco (360 km) | |
Heureusement, nous avons la chance d'être accompagné par un couple de musiciens en habits traditionnels. Les 10 heures ont passées très vite | |
Notre hôtel : Hostal Suecia 1, 332, calle Suecia à 100 mètres du centre de Cuzco. 30 soles sans petit déjeuner. Petit déjeuner que nous prendrons pour quelques soles dans la rue des gringos (calle Procuradores "percepteurs" !) au café restaurant Illary (5 soles le petit déjeuner très complet : jus de fruits, omelette, café) | Vue sur la Plaza de Armas, bordée par la cathédrale et la Compania, la plus belle des églises de Cuzco, édifiée par les jésuites. |
Le couvre chef traditionnel. Chaque région se distingue par les chapeaux portés par leurs habitants. |
Mur Inca en pierres sont parfaitement jointées. Calle Loréto, perpendiculaire à la Plaza de Armas. Ce mur appartient à Amarucancha, la "cour des serpents". Amarucancha était le siège du palais du onzième Inca, Huayna Capac. La Compania y fut érigée après la conquête. Ici dans la calle Hatun Rumlyoc, nous trouverons une pierre à 12 angles. Le mur est construit de manière incliné afin d'éviter les tremblements de terre. |
Des fêtes locales très colorées | Défilé très "coloré" |
AGUAS CALIENTES | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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Nous prendrons le premier bus à 6h30 pour Macchu Picchu ( 26 soles) | La gare terminus |
MACHU PICCHU | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DE MACCHU PICCHU Sources : http://whc.unesco.org/fr/list/274 Enchâssé dans un paysage spectaculaire, au point de rencontre entre les Andes péruviennes et le bassin de l’Amazone, le Sanctuaire historique de Machu Picchu est l’une des plus grandes réalisations artistiques, architecturales et d’aménagement du territoire au monde et le plus important patrimoine matériel laissé par la civilisation inca. Reconnu pour ses valeurs culturelles et naturelles exceptionnelles, ce bien mixte du patrimoine mondial couvre 32 592 hectares de pentes montagneuses, de pics et de vallées qui entourent son cœur, le monument archéologique spectaculaire de La Ciudadela (la Citadelle), à plus de 2 400 m d’altitude. Édifié au XVe siècle, Machu Picchu a été abandonné lors de la conquête de l’empire inca par les Espagnols au XVIe siècle. Ce n’est qu’en 1911 que cet ensemble archéologique a été révélé au monde. Les quelque 200 constructions qui constituent ce centre religieux, cérémoniel, astronomique et agricole exceptionnel sont édifiées sur une crête escarpée, sillonnée de terrasses en pierre. Un plan rigoureux divise la cité en deux parties, la haute et la basse ville, séparant par une large place les zones agricoles des zones résidentielles. À ce jour, nombre de mystères de Machu Picchu ne sont toujours pas résolus, comme son rôle exact dans la connaissance approfondie qu’avaient les Incas de l’astronomie et de l’acclimatation d’espèces végétales sauvages. L’architecture massive mais cependant raffinée de Machu Picchu s’harmonise exceptionnellement bien avec l’environnement naturel spectaculaire auquel il est intimement lié. De nombreux centres secondaires, un important réseau de routes et de sentiers, des canaux d’irrigation et des terrasses agricoles témoignent d’une longue utilisation humaine qui perdure souvent. La topographie accidentée qui rend certaines zones difficiles d’accès a donné lieu à une mosaïque de lieux utilisés et d’habitats naturels divers. Les versants orientaux des Andes tropicales – avec leur très vaste gradient allant des prairies de la puna de haute altitude et des taillis de polylepis aux forêts de montagne humides, en descendant jusqu’aux forêts tropicales de plaine – sont connus pour abriter une riche biodiversité et un haut endémisme d’importance mondiale. Malgré sa petite taille, le bien contribue à conserver une très grande diversité d’habitats et d’espèces, avec une faune et une flore endémiques et reliques remarquables. |
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Une vue d'ensemble en arrivant à l'entrée su site. Grandeur majestueuse assurée | |
CHINCHERO | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DE CHINCHERO Sources : http://www.visitmyperu.com/partir-a-la-decouverte-de-chinchero-un-village-authentique/ |
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Chapeau typique des habitants | Une rue très locale |
OLLANTAYTAMBO (le tombeau d'Ollantay) | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE D'OLLANTAYTAMBO Sources : http://www.voyageperou.info/ollantaytambo-vallee-sacree/ Ollantaytambo fut un des villages les plus importants de l’empire inca grâce à sa situation géographique stratégique dans la Vallée Sacrée. Il était non seulement le point de croisement de nombreux chemins du vaste réseau inca, mais également le point de contrôle de la route menant au Machu Picchu. Pizarro fit détruire de nombreuses routes reliant les villages incas. Peut être est-il donc à l’origine de l’isolement du Machu Picchu pendant si longtemps? La forteresse d’Ollantaytambo fut un haut lieu de résistance contre les conquistadors espagnols. La rébellion, menée par l’Inca Manco Capac, dura plusieurs années. Il réussi à reprendre Cusco, mais essuya finalement une défaite à Sacsayhuaman. Vous comprendrez que c’est une figure historique très importante de l’histoire du Pérou ! Ollantaytambo est divisée en deux parties: le village qui a conservé le même tracé qu’à l’époque inca et la forteresse qui était un centre militaire, religieux et politique. On y trouve de nombreuses cultures en terrasses, si typique du Pérou, mais également le temple du soleil, situé tout en haut du site et construit avec les mêmes grands blocs de pierre parfaitement emboîtés qu’on retrouve au Coricancha à Cusco, et au Machu Picchu. On y trouve également le baño de la ñusta où la femme de l’Inca se baignait pour se purifier. L’eau y coule toujours! |
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Départ pour la vallée sacrée en direction de Macchu Picchu. | |
Les tombeaux dans le mur de la forteresse |
Vue du haut de la forteresse. |
Les taureaux sont le symbole de la fécondité au Pérou, fabriqués en argile ou terre glaise, ils sont fixés sur le toit des maisons. | |
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PISAC | |
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
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HISTOIRE DE PISAC Sources : http://www.azurever.com/cusco/visiter/visites-culturelle-et-historique-au-perou-le-marche-de-pisac-la-forteresse-d-ollantaytambo Le charmant marché de Pisac est un véritable endroit pour trouver
d'exquis arts péruviens. Capturez l'essence de la population indigène
pendant que vous marchez parmi les Indiens amicaux qui viennent vendre
leurs marchandises comme ils l'ont fait pendant des siècles.
De magnifiques souvenirs peuvent y être ramassés - antiquités,
tissages, colliers en céramiques , des mitaines et des pulls en alpaga. |
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Vue du marché | Un vendeur d'articles locaux |
La gentilesse des gens est sans égal | Toujours coiffée de leur chapeau traditionnel |
Une femme tisse un vêtement | |
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