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LISBONNE | |
Sources : http://bonjourlisbonne.fr/ https://fr.wikipedia.org/wiki/Lisbonne http://www.visiterlisbonne.com/ Sommaire Lisbonne (Lisboa) est la capitale et la plus grande ville du Portugal. Considérée comme une ville mondiale selon le classement 2010 du Réseau d’étude sur la mondialisation et les villes mondiales (GaWC) comme Taipei, Miami, Varsovie ou Munich, Lisbonne est également le chef-lieu du district de Lisbonne, du Grand Lisbonne et de la zone métropolitaine de Lisbonne. D'après le recensement de 2011, la municipalité compterait une population de 545 245 habitants, répartie sur une surface de 83,7 km2. La zone métropolitaine de Lisbonne compte une population légèrement supérieure à 2,9 millions d'habitants, soit environ 30 % de la population portugaise, ce qui en fait la 10ième agglomération européenne en importance. C'est la ville la plus riche du Portugal, avec un PIB par habitant supérieur au PIB moyen de l'UE. Située à l'embouchure du Tage, la municipalité est divisée en 24 freguesias (paroisses civiles ou arrondissements). Elle est limitée par les communes de Odivelas et Loures au nord, Oeiras à l'ouest, Amadora au nord-ouest et l'estuaire du Tage (la mer de Paille) au sud-est, au travers duquel, la ville est au contact des municipalités de la rive sud : Almada, Seixal, Barreiro, Moita, Montijo et Alcochete. Deux agences européennes ont leur siège à Lisbonne : L'observatoire européen des drogues et des toxicomanies et l'Agence europenne pour la sécurité maritime, toutes les deux avec des projets de nouveaux sièges près du fleuve. L'organisation de la Communauté des pays de langue portugaise a également ses bureaux dans la capitale portugaise. |
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L'hébergement à Lisbonne : Comme dans toutes les capitales, les hébergements sont assez chers, mais bien moins qu'à Paris ! Evitez tout de même de prendre un logement dans le centre, c'est assez bruyant. Le ramassage des ordures se fait la nuit ! ! pensez aux boules kies ! Nous avons pris un appartement via airbnb dans la très proche banllieue (à coté de la Basilique Estrela, et du tram 28, environ 800 m du centre) et en avons été très satisfait |
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La restauration à Lisbonne : La restauration est moins chère qu'en France. Les plats sont très copieux. Attention, dès que vous vous mettez à table, le serveur vient vous apporter, pain, olives, beurre... (amuses bouche), ils sont payants, donc si vous n'en voulez pas, dites le avant que le serveur ne les dépose sur la table. Le pain est payant. Les plats sont copieux si vous souhaitez partager votre plat avec une autre personne ou pensez qu'en 1/2 portion est suffisante, précisez le "mela dose" lors de la commande |
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Les déplacements dans Lisbonne : Lisbonne se visite à pied, sans problème particulier... sinon que la ville est située sur plusieurs collines et ça monte dur. Un truc : prendre une carte "pass", il en existe plusieurs, selon vos usages. Nous avons opté pour la carte "zapping", genre porte monnaie rechargeable. L'avantage ; vous permet de prendre le tram, le bus, le métro, le bateau (traversée du Tage), le train (pour Sintra), vous évite de faire la queue aux différents transports et permet d'avoir des prix réduits sur les passages. Cette carte est rechargeable à partir de 3 euros L'inconvénient (la précaution) ; Bien calculer son coup pour éviter de laisser trop d'argent sur la carte, autrement, donnez la ou vendez la à l'aéroport Nous avons acheté cette carte à la sortie de l'aéroport. Depuis l'aéroport pour le centre ville, prenez le métro (il y a 4 lignes) c'est facile, rapide et pas cher. Il y a ce fameux tram 28, pitoresque, mais plein comme un oeuf par les touristes... dommage, mais à faire |
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L'Alfama est
le plus vieux quartier de Lisbonne, constitué d'un impressionant
labyrinthe d'étroites ruelles emmenant les passants depuis
l'estuaire du Tage jusqu'au château situé en haut de la
colline. A l'intérieur de ce vieux quartier se trouvent certains
des monuments historiques de Lisbonne les plus importants : la
Cathédrale Sé, le château de Saint-Georges, le
Panthéon national et l'église de Saint Antoine. Avant le 13e siècle, l'Alfama était le quartier situé en dehors des murs de la capitale, réservé aux citoyens les plus pauvres. A l'époque, Lisbonne était en plein essort et la mauvaise réputation de ce quartier ne faisait que s'aggraver car il devenait également le lieu de vie des marins et des travailleurs au port. Cela a bien changé et l'Alfama est aujourd'hui devenu le quartier jeune et tendance de Lisbonne, tout en ayant gardé ce qui faisait son charme. Ce qu'il y a de plus agréable à faire lors d'un séjour dans le quartier de l'Alfama est de se promener à bord du tram 28. Cette ligne connecte Graça à la Baixa, en passant par les ruelles et collines de l'Alfama. Le terrain que cette ligne emprunte est très étroit et sinueux, le rendant totalement inadapté aux tramways modernes : le Remodelado, modèle historique de tramway datant des années 30 assure donc le service La meilleure attraction touristique du quartier de l'Alfama est le château de Lisbonne, le château de Saint-Georges. Le château a été témoin des débuts de l'histoire du Portugal et fut l'endroit où les croisés chrétiens vinrent à bout des Maures du Maghreb en 1147. Il fut alors laissé à l'abandon jusqu'à ce que sa magnificence soit restaurée durant les années 40. Les murs et remparts font office d'un fantastique poste d’observation des environs, offrant de superbes vues sur le centre-ville de Lisbonne. Le meilleur point de vue sur l'Alfama est le belvédère de Santa Luzia (Miradouro de Santa Luzia). De là, la vue sur les toits en tuile de l'Alfama et sur l'estuaire du Tage est tout simplement imprenable. Le point de vue est à proximité du château et situé sur la ligne de tram 28. Le plus beau trésor caché de l'Alfama est le Largo da Graça, plus connu sous le nom de belvédère Sophia de Mello Breyner Andresen (Miradouro Sophia de Mello Breyner Andresen). Cet endroit est paisible et ombragé, idéalement situé en face de l'église da Graça et procurant de somptueuses vues sur le château et le centre-ville de Lisbonne. Il s'y trouve un café de plein air très agréable, aidant à faire de ce lieu un endroit idéal pour se reposer après avoir gravi les collines de l'Alfama. Le quartier de l'Alfama est constitué de raides collines et de ruelles escarpées, ne laissant ainsi que très peu de place aux transports en commun : il n'y a qu'une seule ligne de tram, deux de bus et aucune station de métro. Le seul moyen de partir à l'exploration de l'Alfama est à pied. Le chemin pédestre le plus populaire suit la ligne de tram de la Baixa au belvédère de Santa Luzia. Une alternative à ce chemin est de sortir à la station de métro Santa Apolónia (terminus de la ligne bleue) et de trouver son chemin à travers le labyrinthe de ruelles montant vers le château. La Cathédrale Sé est un monument imposant, doté de solides fondations et qui fut le centre religieux du Portugal. La cathédrale remonte au 12e siècle et fut construite sur le site d'une importante mosquée maure. Saint Antoine est le saint patron de Lisbonne et cette église lui est dédiée et a été construite sur son lieu de naissance. Saint Antoine étant né en 1195, le style Baroque-Rococo de l'église peut paraître trompeur car datant des années suivant 1767 ; cela est dû au fait que l'église fut détruite par le tremblement de terre de 1755, puis reconstruite. L'église de Santa Engrácia est le Panthéon national du Portugal, lieu d'enterrement de nombreuses personnalités Portugaises telles que le poète Luís de Camões et les explorateurs Vasco de Gama et Henry le Navigateur. Ce musée raconte l'histoire de cet envoutante musique originaire du quartier de l'Alfama. Le fado se pratique avec un chanteur solo accompagné d'une guitare traditionnelle portugaise. Cette musique, lugubre mais transmettant de puissantes émotions, reflète les sentiments des femmes de marins partis en mer pour de dangereux voyages. Lisbonne ayant été l'une des principales villes de l'empire romain, les rues de l'Alfama cachent les vestiges d'un amphithéâtre romain d'une capacité de 5000 spectateurs. A proximité de l'amphithéâtre se trouve le musée du théâtre romain (Museu Teatro Romano), plutôt petit mais regorgeant d'objets ayant été trouvés sur le site. |
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Rues typiques dans le quartier Alfama |
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Dans le quartier l'Alfama, aux portes de nombreuses maisons, il y a ce type d'écusson en céramique, représentant un membre de la famille avec souvent le métier qu'il pratiquait | |
Quartier Alfama - les trams sont partout ! ! peu de place pour les voitures et piétons ! Ce quartier est particulièrement prisé des touristes, il y règne une ambiance chaleureuse de vieux quartiers comme dans le temps. |
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Castelo de Sao Jorge D’époque islamique, construite vers le milieu du XIe siècle, la fortresse se dresse dans la partie la plus difficile d’accès au sommet de la colline, afin de tirer parti des flancs escarpés au nord et à l’ouest. Le château fort avait pour fonction d’héberger la garnison militaire et, en cas de siège, les élites qui vivaient dans la citadelle. Il n’avait pas de fonction résidentielle contrairement aux autres châteaux d’Europe. Il garde encore 11 tours, parmi lesquelles le Donjon, la Tour du Trésor ou Tour des Archives, la Tour du Palais, la Tour de la Citerne et la Tour de Saint Laurent, située en contrebas. Sur la deuxième place, on peut encore voir les vestiges des anciennes constructions et une citerne. Dans cette même cour, on peut voir, sur la muraille nord, une petite porte appelée Porte de la Trahison, qui permettait l’entrée et la sortie des messagers secrets en cas de besoin
Ensemble
de vestiges archéologiques qui témoignent de trois périodes importantes
de l’histoire de Lisbonne : (1) les premières occupations connues qui
remontent au VIIe av. J.-C. ; (2) les vestiges de la zone résidentielle
de l’époque islamique, de l’époque de la construction du château, vers
le milieu du XIe siècle ; (3) les ruines du dernier palais de
l’ancienne citadelle, détruit par le tremblement de terre de 1755
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Castelo de Sao Jorge L'entrée est de 8,50 euros, mais cela vaut vraiment d'être visité. Particulièrement la vue sur Lisbonne depuis les ramparts
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Vue depuis le Castelo de Sao Jorge
Au fond le Tage |
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Le Clôtre Saint Vincent Le monastère Saint-Vincent hors-les-murs (Igreja de São Vicente da Fora en portugais) est une église et un monastère portugais augustin situé dans la ville de Lisbonne. C'est l'architecte italien Filippo Terzi qui érigea de 1582 à 1627 le monastère actuel. Son appellation de Fora signifie « hors les murs », car à sa construction le monastère se trouvait à l'extérieur des remparts de la ville. Aujourd'hui il se trouve englobé dans les constructions urbaines. Il est l'un des bâtiments maniéristes les plus importants du pays et aussi le lieu de sépulture de la plupart des rois portugais de la maison de Bragance |
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Le Panthéon national du Portugal (en portugais: Panteão Nacional) est l'ancienne l'église de Santa Engrácia,
dédiée à Sainte Engrace, reconvertie
à cet effet en 1916. Il se trouve dans la paroisse de Sao
Vicente de Fora à Lisbonne |
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Saint Antoine (mieux connu sous le nom de Saint Antoine de Padoue)
est né à Lisbonne, apparemment à l’endroit
exact où se trouve aujourd’hui l’église qui
lui est dédiée (Igreja de Santo Antonio).Il est le saint
patron de Lisbonne, le grand culte que les Portugais ont pour le Saint
Antoine est remarquable
Fernando Martins de Bulhões connu comme saint Antoine de Padoue ou saint Antoine de Lisbonne,
né en 1195 à Lisbonne et mort le 13 juin 1231
près de Padoue (Italie) est un prêtre franciscain,
maître de doctrine spirituelle, prédicateur de renom
et thaumaturge, qui fut canonisé en 1232, moins d’un
an après sa mort, et déclaré Docteur de
l'Eglise en 1946. Liturgiquement, il est commémoré le 13 juin.
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Saint Antoine de Padou |
Saint Antoine de Padou
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La Cathédrale de la Sé
Dans la sacristie, on trouve le trésor de la
cathédrale et les reliques de Saint-Vincent, patron officiel de
la ville.Aux allures de château médiéval, la Cathédrale de Lisbonne, connue sous le nom de Sé, fut construite en 1150 par Dom Afonso Henriques, premier roi du Portugal (1139-1185), sur l’emplacement de l’ancienne mosquée de la ville. Elle devait en effet, hormis son rôle liturgique, montrer au monde qu’après la reconquète de Lisbonne sur les maures, la foi chrétienne règnerait désormais sur la ville et ce pour l’éternité, tel que le roi lui-même l’aurait promis lors du célèbre miracle précédent la Bataille de Ourique contre les maures. Avec deux tours massives à créneaux, elle domine la colline du quartier de l’Alfama. Son intérieur dispose d’une rosace d’une exceptionnelle légèreté et est composé d’une nef de style roman, d’un choeur et d’un déambulatoire gothiques. Partiellement détruite par le Tremblement de terre de 1755, elle fut reconstruite à l’identique, sauf pour les deux Tours qui étaient précédement coiffées par une toiture, comme on peut parfois le voir sur d’anciennes gravures ou fresques d’azulejos. À l’entrée du côté gauche, on trouve un font baptismal sur lequel fut baptisé Saint Antoine. L’ensemble dispose d’un cloître splendide bâti au XIVème siècle et est rempli de symboles religieux, héraldiques et franc-maçons. |
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Cathédrale de la Sé |
Cathédrale de la Sé |
Cathédrale de la Sé Passage du tram 28 |
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L'Assemblée Nationale |
Garde à l'Assemblée Nationale |
Basilique Estrada |
Basilique Estrada |
La Basilique
d'Estrela est l'une des églises les plus importantes de
Lisbonne. La basilique à coupole a été construite
à la fin du XVIIIe siècle et c’est l'un des
derniers chefs-d'œuvre créés par les architectes de
l'école Mafra. L'église a été construite entre 1779 et 1790 sur un projet de Mateus Vicente de Oliveira, un architecte de l'école Mafra. Après sa mort en 1786 la construction a été achevée sous la direction de l'architecte baroque Reinaldo Manuel de Sousa. La Basilique Estrela est consacrée au culte du Sacré-Cœur de Jésus, et elle est donc également connue comme la basilique du Sacré-Cœur. |
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Le Monastère des Hiéronymites ou Mosterio dos Jeronimos et l'Eglise Santa Maria à doite |
Le Monastère des Hiéronymites (en portugais : Mosteiro dos Jerónimos)
est un monastère portugais de l'Ordre de Saint
Jerôme de style manuléin, témoignage
monumental de la richesse des découvertes portugaises à
travers le monde. A côté, L'Eglise Santa Maria et le tombeau de Vasco de Gama Entrée gratuite le lundi |
C'est sur l'emplacement d'un ermitage dédiée à la vierge de Bethléem (Belém), fondé par Henri le Navigateur, que le roi Manuel 1er entreprend en 1502 (selon l'histoire officielle en remerciement pour le retour de Vasco de Gama de son premier voyage en Inde en août 1499), de bâtir un magnifique monastère destiné aux religieux de l'ordre des hiéronymites. En réalité, la fondation du grand monastère est planifiée avant le départ de Vasco de Gama, puisque la bulle papale autorisant sa construction date du 23 juin 1496
Accueillir au Portugal l'ordre des hiéronymites,
c'est-à-dire un ordre espagnol dont la vocation est d'entretenir
le culte funéraire de la dynastie royale de Castille, est un geste de Manuel 1er en direction des Rois Catholiques,
avec lesquels il souhaite s'allier par l'entremise d'un mariage avec
leur fille. La première pierre est posée en janvier 1502,
et le chantier pharaonique sera en grande partie financé par les
profits du commerce d'épices et grâce aux richesses
rapportées des grands voyages de découverte portugais du XVIe siècle. On parle d'ailleurs de 750 tonnes d'or consacrée chaque année au chantier de construction. |
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Le Cloître Le cloître possède une richesse sculpturale impressionnante. De forme carrée de 55 mètres de côté, il comprend deux étages. L'étage inférieur, construit par Diogo Boitaca, est percé de larges arcades dont les remplages prennent appui sur de fines colonnettes dont la décoration s'inspire du gothique finissant et de la Renaissance. L'étage supérieur, construit par João de Castilho, a un style moins exubérant. Dans un couloir du cloître se trouve depuis 1985 le tombeau de fernando Pessoa. La salle capitulaire du cloître abrite aujourd'hui le tombeau de l'écrivain Alexandre Herculano. La sacristie et le réfectoire des moines sont recouverts de voûtes à liernes et tiercerons |
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Le Cloître |
Le Cloître |
Le Cloître |
Le Cloître |
Le Cloître |
Le Cloître |
Le Cloître |
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L'Eglise Santa Maria C'est en 1147 que la ville est reconquise par une
armée composée de soldats portugais menés par le
Alphonse Ier
et de croisés européens participant à la
deuxième croisade. Le croisé anglais Gilbert de Hastings
fut nommé évêque de Lisbonne, le premier
après la conquête de la ville sur les Maures en 1147, et
occupa le siège épiscopal jusqu'à sa mort en 1166. Font baptismal
À la gauche de l'entrée, se trouve une chapelle, la capela franciscana (chapelle fransiscaine) qui abrite les fonts baptsimaux ayant servi au baptême, en 1195, d'Antoine de Padoue.
Cette chapelle est décorée avec des azulejos qui
représentent saint
Antoine. Dans la chapelle adjacente se trouve une crèche de
Noël
baroque faite de liège, de bois et de terre cuite
exécutée par le sculpteur Joaquim Machado de Castro.
Antonio Vieira fut également baptisé dans cette cathédrale. |
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Eglise Santa Maria |
Eglise Santa Maria |
Eglise Santa Maria Le tombeau de Vasco de Gama |
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Eglise Santa Maria |
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L'Eglise des Italiens Le temple fut construit à l'endroit où se dressaient les murailles qui délimitaient le côté ouest de Lisbonne au XIVe siècle, construites sur ordre du roi Fernando. Le culte à la Sainte Vierge de Loreto, très répandu en Italie, fut introduit par les italiens qui, dès le XIVe siècle, s’installaient au Portugal, se consacrant à des professions liées à la marine et à la pêche. Quelques-uns se sont fait remarquer et occupèrent des postes proéminents auprès de la Cour portugaise. Ce fut sous l’influence de cette communauté italienne qu’en 1573 la chapelle de Saint-Antoine fit place à un temple plus vaste consacré à la Sainte Vierge de Loreto, lequel intégra la tour de la muraille du côté nord. L’actuelle église date de 1676, car un incendie survenu en 1651 détruisit en partie la primitive édification. Sur la façade, à la noble architecture, on remarquera sur l’architrave une représentation de la Sainte Vierge de Loreto, dans de beaux drapés et l’enfant observant par-dessus son épaule gauche. Sur le portail, les deux anges de chaque côté des armes pontificales sont un travail attribué à l’italien Borromini (XVIIe siècle). Les niches latérales renferment les représentations des Apôtres Saint-Pierre et Saint-Paul, également d’influence italienne. |
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L’intérieur, formé d’une seule nef, se termine en un plafond décoré d’une peinture de la Sainte Vierge de Loreto, attribuée à Pedro Alexandrino (1730-1809). Il est entouré de 12 chapelles, ornées de panneaux aux belles peintures, et revêtu de marbres d'origine italienne, qui survécurent aux dommages provoqués dans le temple lors du tremblement de terre de 1755, dont la reconstruction se doit à José da Costa e Silva, le même architecte qui dessina le Théâtre São Carlos. | |
La Gare de Lisbonne Gare de la Société royale des chemins de fer portugais, pour desservir la région de Sintra,
elle est conçue par l’architecte José Luis
Monteiro, la construction débute en 1888, l'inauguration ayant
lieu le 23 novembre 1890. |
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La gare de Lisbonne |
La gare de Lisbonne |
Eglise San Domingos.
Elle a été consacrée en 1241. Elle fut à l'époque la plus grande église de la ville. |
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Eglise San Domingos |
Eglise San Domingos |
La Praça do Comércio (Place du Commerce) est une célèbre place du quartier de Baixa de Lisbonne. |
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Place du commerce, vue depuis le Castelo de San Jorge |
Place du commerce |
Place du commerce |
Place du commerce
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Rue Augusto |
Rue Augusto Ancienne rue Royale L'artère principale et commercante de Lisbonne Piètonne, elle part de la Place de Figueras et vas jusq'à la Place du Commerce |
Rue Augusto, spectacle "statue de rue" |
Rue Augusto, spectacle "statue de rue" |
Féniculaire de Bica |
Féniculaire de Gloria |
Intérieur de l'Eledator da Gloria
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Eladator da Gloria Quartier Rossio, près de la gare Rossio |
Place Santa Luzia quartier Alfama, en allant au Castelo San Jorge |
Elavador Santa Justa dans la rue Augusto |
La tour de Belém fut
construite afin de servir à la fois de porte
d'entrée à la ville de Lisbonne mais aussi en tant que
partie
intégrante du système de défense protégeant
l'embouchure du Tage et le
monastère des Hiéronymites, lesquels constituaient des
points
stratégiques pour envahir la ville. Ce système de
défense fut commencé
par le roi Jean II du Portugal (1455-1495), qui fit construire les
forteresses de Cascais et de São Sebastião da
Caparica. Les rivages de
Belém étaient protégés par un vaisseau, la Grande Nau,
qui fut remplacée par la tour de Belém au cours des cinq
dernières années du règne du roi Manuel Ier de Portugal. En 1580, quand Lisbonne fut envahie par les troupes espagnoles au cours de la lutte pour le trône portugais, la tour combattit et se rendit au duc d'Albe, Ferdinand Alvare de Tolede. Pendant les siècles qui suivirent, la tour fut principalement utilisée comme une prison, dont les cellules souterraines étaient régulièrement inondées. Du fait de sa hauteur et de son manque de dissimulation dans le paysage, certains historiens pensent que la tour devaient servir principalement d'avant-poste. La tour, construite sur un petit îlot proche des bords du Tage, a vu le rivage nord se rapprocher progressivement avec le temps. Certains guides affirment que la tour se trouvait au centre du Tage et que le tremblement de terre de 1755 aurait modifié son cours, rapprochant la tour du rivage - cette version a cependant été infirmée. Dans les années 1840, sous l'impulsion de l'écrivain Almeida Garrett, la tour de Belém fut restaurée par le roi ferdinand II du Portugal. À la même époque, quelques éléments décoratifs néo-manuelins furent ajoutés au bâtiment. Le bâtiment fut déclaré monument national en 1910 |
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La Tour Belem |
La Tour de Belém a été construite sur les bords du Tage dans la freguesia de Santa Maria de Belem entre 1514 et 1519 par le roi manuel 1er du Portugal pour garder l'entrée du port de Lisbonne. Elle a été inscrite sur la liste du patrimoine mondial en l'UNESCO en 1983, conjointement avec le monastère des Hieronymites. La tour de Belém évoque l'Afrique en plein Lisbonne. Sous ses terrasses, ses balcons et ses échauguettes mauresques, cette citadelle, édifiée au XVIe siècle par Arruda pour abriter les capitaines du port, a vu passer les caravelles en partance pour les côtes de Guinée |
La Tour Belem |
La Tour Belem |
Marché de Ribeira en face de la garre Cais do Sedré
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Marché de Ribeira en face de la garre Cais do Sedré |
Le pont du 25-avril (ou pont 25-avril) est le premier pont suspendu au-dessus du Tage. En 1960, encore sous la dictature de Salazar,
la décision est prise de faire un pont sur le Tage. Cette
tâche est confiée aux Américains de l'American
Bridge avec l’aide de onze sociétés locales.
L'acier provient de la United States Steel Export Compagny. Les travaux
débutent deux ans plus tard et en moins de quatre ans le pont
est prêt avec six mois d'avance le 6 aout 1966, jour de son
inauguration. Le pont est nommé pont Salazar,
d'après le dictateur du Portugal à l'époque. Mais
tout de suite après la révolution des oeillets, il est renommé pont du 25-avril, jour de la révolution. Les plans du pont du 25 avril sont inspirés du Bay Bridge, entre San Franscisco et Oakland en Californie. Il s'agit d'un pont suspendu ancré au sol avec tabliers à deux niveaux en poutres à treillis. La Société américaine de génie civil mentionne que les deux ponts se trouvent dans une région avec une longue histoire de séismes et que cela a été pris en compte dans leur construction. Le pont du 25 avril ressemble également au Golden Gate Bridge de San Francisco ainsi qu'au pont sur le Forth d'Edimbourg. À son inauguration, le pont était le plus long pont suspendu et celui ayant la plus longue travée principale d'Europe continentale. Il avait également le plus long treillis continu et les plus profondes fondations au monde. Il était le cinquième plus long pont suspendu du monde, le plus long hors des États-Unis, et est toujours en 2008, le 19e.
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Pont du 25 avril |
Pont du 25 avril |
Le Cristo Rei (Christ Roi)
est un sanctuaire et monument religieux représentant le
Sacré Coeur de Jésus. Il est situé dans la
municipalité d'Almada du Portugal. Surplombant le pont du 25
avril, il fait face à la ville de Lisbonne par rapport à
l'embouchure du Tage. La statue du Christ Rédempteur, qui existe
déjà en 1934 à Rio de Janeiro, au Brésil,
donne l'idée au patriache de Lisbonne, D. Manuel
Gonçalves Cerejeira, de construire un monument d'aspect
similaire dans sa ville. En 1936,
il transmet cette idée au mouvement apostolique de
prière, qui l'accueille avec enthousiasme. Tous les
évêques du pays sont ensuite invités à
soutenir le projet dont la proclamation officielle a lieu
l'année suivante, à la pastorale du carême. À l'occasion de la célébration du 25e anniversaire, en 1984,
les terrains aux alentours sont réalloués pour abriter le
bâtiment d'accueil du sanctuaire d'aujourd'hui, ainsi que le
rectorat et les services administratifs, avec une chapelle et diverses
salles pour des expositions et des réunions. |
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Le Christ Roi
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CaractéristiquesS'élevant sur le sommet d'une falaise dominant de 133 mètres les eaux du Tage, le monument, mesure lui-même 110 mètres, ce qui en fait une des plus hautes constructions du pays. Il est constitué de deux parties :
Son poids est de 40 000 tonnes, la taille de la tête est de 4,05 m et les bras mesurent 10 m de longueur. L'envergure entre les deux mains est de 28 mètres. Le Cristo Rei possède à sa base une chapelle dédiée à Nossa Senhora da Paz. Le monument du Christ Roi est la plus grande attraction touristique de la commune d'Almada, après les plages de la Costa de Caparica. De plus, ce monument offre un point de vue imprenable sur la région voisine, notamment des quartiers lisboètes situés près des quais comme la célèbre Alfama ou la Baixa |
Maison, dans le centre de Lisbonne
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Maison, dans le centre de Lisbonne
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Maison, dans le centre de Lisbonne
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Maison, dans le centre de Lisbonne
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Mosaiques dans le quatier Alfama |
Mosaiques dans le quatier Alfama |
Tuk Tuk dans les rues de Lisbonne, quartier Alfama |
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Train dans la gare de Lisbonne en partance pour Sintra
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SINTRA | |
Sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sintra Sommaire Sintra (anciennement Cintra) est une ville et un municipio portugais située à 25 km au nord-ouest de Lisbonne dans le district de Lisbonne. La population de la ville est de 33 000 habitants, celle du municipio (canton) est de 377 835 habitants. |
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Après 711,
la ville de Sintra est intégrée dans l'émirat puis
le califat de Cordoue, dans la région nommée ouest d'Al
Andalus (Gharb al Andalus). Elle apparaît dans des textes géographiques (Al-Bakri, XIe siècle),
comme dépendance de Lisbonne et principal centre urbain après celle-ci,
Santarem étant alors la principale ville de la région. La construction
du fort dominant le site fut motivée par la surveillance des côtes
après les raids vikings du IXe siècle. Sintra fut renommée pour l'étude du fiqh (droit musulman). |
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Village de Sintra |
Les rois portugais, l'artsitocratie et la haute bourgeoisie venaient y séjourner. Pour y aller : Prendre le train à la Estacao Cais dop Sedre, le pass zapping est valable pour le trajet, qui dure environ 30 à 45 minutes, selon les arrêts. A l'arrivée, à la gare de Sintra. De nombreux bus circulent en boucle. Le prix du pass est de 5 euros Eviter d'y aller le week end. Y passer une journée est suffisant, mais il est impossible de tout voir en une seule journée. Les pass se prennent en fonction des sites que l'on veut visiter et on peut s'arrêter à chaque site du cricuit choisi faire effectuer la visite. Mais certains randonnent... dur dur... avec la chaleur |
Les différents sites à voir à Sintra et ses alentours : Palacio Nacional de Sintra Palacio de Seteais Palacio de Monserrate Palacio da regaleira Palacio de la Pena Castillo de les Maoros Cabo de Roca Bahia dee Cascais Nous avions fait le choix du cirduit suivant : Sintra et le palais National, Le Chateau des Maurres, Le Palais de la Pena. C'est le bus 434 avec un pass à 5 euros qui fait ce circuit. |
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Le Palais national de Sintra– également connu sous le nom de Palácio da Vila
(Palais du Bourg) et aussi appelé Palais Royal – constitue
l'un des principaux monuments de la ville de Sintra ; ses deux
cheminées coniques blanches hautes de 33 mètres lui donnent une silhouette tout à fait singulière et en font, de ce fait, le symbole de la ville. Entrée : 10 euros |
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Le Palais National Les deux cheminées des cuisines font 33 m de haut. Elles sont vraiement typiques |
Le Palais National |
Le Palais National |
Le Palais National |
Le Palais National |
Le Palais National Vue du Chateau des Maures |
Le Palais National Salle des cygnes. Plafond composé de 27 tableaux en bois peint de cygnes |
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Le château de Sintra, également connu sous le nom de château des Maures, dans l'Estrémadure, se situe dans la commune (vila) de Sintra, dans la paroisse de São Pedro de Penaferrim, dans le conseil de Sintra. Le destin de Sintra reste lié à celui de
Lisbonne, qui sera reconquise par les forces d'Alphonse VI pour revenir
aux musulmans en 1905, pour tomber définitivement aux forces de Don Afonso Henriques 1er du Portugal en 1147. Cherchant à repeupler et défendre le lieu, le souverain concéda le for à Sintra en 1154,
quand seront terminées les réparations sur ses
défenses, la dotant d'une église (église de
São Pedro de Canaferrim). Entrée 8 euros |
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Chateau des Maures |
Chateau des Maures |
Chateau des Maures |
Pour nous, sans doute le chateau le plus intéressant. Un muraille que l'on peut parcourir |
Le Palais de la Pena Le Palais de Pena est situé sur l’une des cimes de la Serra de Sintra, au cœur d’un parc de 200 hectares de la ville de Sintra. Il se caractérise par ses couleurs vives, jaune et rouge. On le doit au prince Ferdinand de Saxe Cobourg Gotha
— régent du royaume —, d’origine
allemande et portugais d’adoption à la suite de son
alliance avec la reine Maria II. |
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Entrée 14 euros |
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Palais de la Pena
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Palais de la Pena
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Palais de la Pena
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Palais de la Pena
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Palais de la Pena
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Palais de la Pena
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Palais de la Pena
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Palais de la Pena
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Palais de la Pena
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Palais de la Pena
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