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VOYAGE à la GUADELOUPE Du 24 avril 2024 au 27 mai 2024 |
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Itinéraire : BASSE TERRE 1 semaine à coté de Sainte Rose 1 semaine à Capesterre (Bananier) GRANDE TERRE 1 semaine Le gosier 1 semaine Le Moule | |
BUDGET
Avion : Paris - Pointe à Pitre = 636 euros / pers Air France Dépenses sur place : 1900 euros pour 1 personne | |
Informations touristiques /
Sources : BASSE TERRE
LA VIE EN GENERAL
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BASSE TERRE | |
INFORMATIONS POUR LES
ROUTARDS :
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LA SOUFRIERE | |
La Soufrière surnommée « vyé madanm la » en créole guadeloupéen, littéralement « la vieille dame » en français, est un volcan en activité situé sur le territoire de la commune de Saint-Claude en Guadeloupe, dans le parc national de la Guadeloupe et la réserve de biosphère de l'archipel de la Guadeloupe, dans le sud de l'île de Basse-Terre. La commune de Basse-Terre, chef-lieu du département et région d'outre-mer, se trouve à une dizaine de kilomètres au sud-ouest et les chutes du Carbet sur son flanc est. C’est le seul volcan actif de l’île, actuellement à l’état de repos éruptif. | |
Nous
n'avons pas eu de chance, nous sommes montés 2 fois au sommet et les
deux fois avec la pluie. Il est en effet assez rare (paraît-il)
d'avoir du beau temps. Ce fut toutefois une expérience à faire
absolument. | |
Arrivé en haut, le refuge « de Montagnards » permet de se mettre à l'abri. |
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LES CHUTES DU CARBET | |
Il y a 3 chutes du Carbet. Pour y accéder, prendre la route qui monte à Saint Sauver sur la N1. Le départ se situe au parking 1ère et 2ième chutes du Carbet. L'entrée est payante (6 euros). La 3ième chute n'était pas accessible lors de notre séjour. L'accès à la première chute est très bien balisée. Plus de 1000 « marches » avec des passages en rappel, assez difficile. Possibilité de se baigner à la cascade très impressionnante. | |
La
première Chute du Carbet, également connue sous le nom de Grande
Chute, offre un spectacle grandiose en deux paliers, avec un saut
impressionnant de 115 mètres | |
La
deuxième Chute du Carbet, haute de 110 mètres, est la plus connue
des trois. | |
La troisème Chute du Carbet, haute de 20 mètres, se distingue par son débit très important. Il faudra plus de 3 heures pour y accéder. ⛔ Malheureusement, en raison d'éboulements de pierres survenus en 2008, son accès est désormais définitivement fermé et interdit par arrêté municipal. Autrefois, atteindre cette cascade nécessitait ± 5H A/R. | |
Un bon bain dans une eau chaude venue des entrailles de la terre. Excellent après une randonnée |
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LA CASCADE BIS | |
Pour accéder, prendre à partir de la commune Le Boucan la direction du village Bis. Passer à gué de la cascade du Petit Boucan, continuer vers la cascade cascade Bis (Grand Boutan). La descente à la cascade se fait en rappel avec une corde, assez difficile surtout si comme pour il y avait de la boue dû aux fortes pluies. En arrivant, du fait de la difficulté, personne, possibilité de se baigner. |
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LE SAUT DES 3 CORNES | |
Pour accéder, prendre à à la sortie de Sainte Rose (direction le Boucan). Accès bien balisé sans grande difficulté. Possibilité de se baigner. |
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LES MAMELLES | |
Pour accéder, prendre la D23 à partie du nord de Bouillante, commune de Mahault en direction du Zoo du Parc des Mamelles. A 768 m d'altitude, ce qui n'est pas énorme, mais il y a tout de même plus de 800 « marches ». Selon l'état du terrain, c'est plus ou moins facile. Nous l'avons fait en terrain boueux. | |
LA CASCADE DES ECREVISSES | |
Pour
y accéder, prendre la D23 dans la continuité des Mamelles. C’est
le site touristique le plus fréquenté des îles de Guadeloupe !
Située sur la route de la traversée en Basse-Terre, la cascade aux
Écrevisses est accessible pour tous en moins de 10 minutes. Elle
doit son nom aux écrevisses locales, les ouassous, dont le bassin
regorgeait autrefois. | |
LE SAUT / CASCADE ACOMAT | |
Pour
y accéder,
depuis Pointe Noire, pas très loin de la plage Caraïbe, le saut
d’Acomat, est un joyau naturel de la Guadeloupe. Niché au cœur de
la forêt tropicale luxuriante, il offre un spectacle époustouflant
aux visiteurs. Pour la descente, il faut faire attention. | |
BOUILLANTE | |
C'est une expérience à faire. se baigner dans une eau à plus de 45 degrès Cette
source chaude coule depuis la centrale géothermique vers la mer. Les eaux sont celles rejetées par la centrale géothermique de Bouillante. Elles sont puisées à plusieurs kilomètres de profondeur sous forme de vapeur. Les vapeurs font tourner les turbines produisant une électricité propre. Les eaux sont refroidies à 45° avant leur rejet dans le canal. il faudra se garer derrière la station service, vers le stade du bourg et traverser la route pour s’y rendre. | |
BASSE-TERRE | |
Le fort Delgrès, anciennement fort Saint-Charles, est un fort français qui domine la ville de Basse-Terre. Il fut un haut lieu de la lutte franco-anglaise dans les Antilles puis de celle des Guadeloupéens conduits par l'officier mulâtre Louis Delgrès, résistant au rétablissement de l'esclavage confié à Antoine Richepanse par Napoléon 1er. En 1650, Charles Houël, gouverneur puis seigneur et propriétaire de la Guadeloupe, fait bâtir un "donjon" (tour carrée de 11 m de côté environ et de 3 étages) sur une hauteur dominant la ville de Basse-Terre, alors capitale de l'île. Dans un second temps, il le fait renforcer par la construction d'angles saillants en forme d'octogone, puis il fait ajouter, à l'est et à l'ouest, deux cours entourées de murs2. Cet édifice est un lieu sécurisé mais surtout le symbole de son pouvoir sur la population. Faisant l'objet de transformations successives, le fort Houël de 1667 sera nommé ensuite : château de Guadeloupe en 1700, fort Saint-Charles en 1753, fort Royal (de 1759 à 1763) et fort Matilda en 17944. Il prend, en 1803, le nom de Richepance, mort cette année-là, après que ce dernier a réprimé la rébellion de Louis Delgrès et de ses compagnons d’armes contre le rétablissement de l'esclavage. À nouveau fort Matilda (1810-1814 et 1815-1816), puis Richepanse (1816-1960), il redevient le fort Saint-Charles en 1960, avant de prendre son nom actuel de fort Delgrès en 1989, en hommage à Louis Delgrès, devenu le héros de la lutte l'esclavage | |
BANANIER | |
Un hébergement fort sympathique coconut par booking.com | |
Depuis la côte de Caspesterre, vue sur les Saintes | |
DEHAIES | |
Cette ville touristique au nord de Basse Terre est un lieu charmant. Le jardin botanique de Dehaies anciennement propriété de Coluche, offre une évasion au milieu de la nature luxuriante | |
RANDONNEE DE LA PLAGE DES AMANDIERS VERS L'ANSE VINTY | |
Une randonnée à l'est de Sainte Rose sur la route de Dehaies. Cette randonnée en bord de côte est très agréable. Les baignades y sont nombreuses | |
PLAGE MAMBIA | |
Comme de nombreuses plages, la plage Mambia est assez confidentielle et ce sont principalement les locaux qui y viennent, le soir après le travail | |
MUSEE DU RHUM - DISTILLERIE REIMONENQ | |
Cette distillerie est située sur la commune de Sainte Rose. Un très instructif musée du rhum avec de nombreux outils et matériels. Un musée des insectes et des papillons est aussi intégré au musée du rhum | |
GRANDE TERRE | |
INFORMATIONS
POUR LES ROUTARDS :
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RANDONNEE DE LA PLAGE DU SOUFFLEUR (PORT LOUIS) A LA PLAGE DE LA CHAPELLE (ANSE BERTRAND) | |
Une des plus belles randonnées d'une quinzaine de km A/R en bord de plage aux eaux limpides et chaudes souvent à plus de 30°C. |
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LE GOSIER | |
Le Gosier est l'une des principales villes de Grande Terre. Très touristique elle est située à quelques km de Sainte Anne, le spot pour touristes venant passer l'hiver aux Antilles. | |
LE MOULE | |
Le Moule est l'une des principales villes de Grande Terre. C'est pour moi l'une des plus agréables villes de la Guadeloupe. Peu de touristes, ce qui en fait une ville paisible. Un très agrable marché le mercredi soir où l'on peu acheter des produits locaux à des prix raisonnables. À proximité du bourg du Moule, le Parc archéologique Ouabitibi-Tibi nous plonge dans l'histoire des Indiens Caraïbes qui ont peuplé les lieux. | |
Le Parc archéologique Ouabitibi-Tibi ou un voyage dans l'ère précolombienneLe parc archéologique Ouabiti-Tibi est situé dans le lieu-dit Morel, non loin du centre-bourg du Moule. Il est délimité par les plages des Alizés et Montal et occupe une superficie de 7,5 hectares. Son nom signifie « grenouille » en langue caraïbe. Il s'agit d'un des plus importants sites de fouilles archéologiques de la Caraïbe. Celui-ci est composé de trois espaces : un espace mémorial rendant hommage aux populations amérindiennes ayant peuplé le Nord Grande-Terre avant l'arrivée des colons européens, un centre d'interprétation archéologique qui présente les traditions des Indiens Caraïbes et un espace d'animation avec un parcours sportif et de santé aménagé par la Région Guadeloupe | |
Musée Edgar CLERC Le musée départemental d’archéologie amérindienne – Edgar Clerc, présente l’histoire amérindienne de l’île et aux différentes cultures précolombiennes qui s’y sont succédées depuis des millénaires (Huécoïdes, Saladoïdes, Troumassoïdes, Suazoïdes), à travers la présentation des vestiges archéologiques très importants sur tout le territoire guadeloupéen |
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RANDONNEE DE L'ANSE DU BELLEY PAR LA PLAGE DE BOIS JOLAN (Ste ANNE) A LA PLAGE PIERRE ET VACANCES | |
Cette randonnée en bord de côte est vraiment superbe, très ombragée avec de beaux points de vue | |
PETIT CANAL | |
A l’origine le nom est Mancenillier, en relation à l’arbre côtier souvent présent sur les littoraux. L’endroit était a priori insalubre car très marécageux et les habitants se sont rapidement transportés vers le plateau un peu en hauteur. C’est le creusement au XVIIIème d’un modeste canal permettant le passage de barges vers Morne à l’Eau qui fit nommer la ville « Canal ». Le percement au XIXème siècle du canal de Rotours à Morne à l’Eau fit modifier le nom en Petit Canal, restant « Kannal » en créole. La ville est célèbre surtout par sa triste histoire car elle a été le point de débarquement privilégié des navires négriers qui amenaient les esclaves d’Afrique avant de les vendre aux exploitants locaux. C’est un lieu de mémoire, une plongée dans un passé douloureux que tout visiteur se doit d’honorer de sa visite. | |
Au bout de l’allée venant du débarcadère, les Marches des Esclaves mènent au plateau et à l’église. Cet escalier en pierres de taille porte, en regard de chaque volée de marches, les noms des ethnies africaines d’où étaient originaires les esclaves qui débarquaient en Guadeloupe | |
En se tenant face à l’escalier, dos à la mer, une route sur la gauche mène vers le Nord. Après quelques mètres apparaît, derrière les arbres sur la droite l’ancienne prison. Bien que délabré le bâtiment conserve ses principales pièces, ainsi que des barreaux sur des murs. Il s’en dégage une atmosqphère un peu étrange… Le côté spectaculaire vient du grand Figuier Maudit dont les branches et les énormes racines semblent avoir emprisonné tous les murs et l’intérieur, passant à travers les cloisons comme si la nature voulait éradiquer cette bâtisse. | |
Musée de peinture | |
RANDONNEE DE LA POINTE DE LA GOURDE A LA PLAGE DES ROULEAUX | |
Cette randonnée n'est pas très pratiquée, bien que bien balisée, elle nécessite d'être bien chaussée On abouti à la plage des rouleaux, une plage totalement désertique, que du bonheur de se baigner en tenue d'Adam | |
RANDONNEE DE l'ANSE MAURICE VERS L'ANSE DES CORPS | |
Cette randonnée présente quelques difficultés. Etre très bien chaussé, mais aussi il y a des passages en rappel et des grimpettes hors sentier, faire très attention, ça glisse ! ! | |
RANDONNEE DE LA PORTE D'ENFER VERS LA POINTE DU SOUFFLEUR.... MAIS LES GUÊPES.... | |
Cette randonnée est l'une des plus belle mais aussi l'une des plus longue, à cause d'une attaque de guêpes qui nous a obligé à faire une boucle de 21 km sous la chaleur... il a fallu économiser l'eau qui n'était pas prévu pour un si long parcours. | |
POINTE DU PITON | |
LA POINTE DES CHATEAUX | |
POINTE A PITRE | |
CENTRE CARIBÉEN D'EXPRESSIONS ET DE MÉMOIRE DE LA TRAITE ET DE L'ESCLAVAGE | Les noms des navires négriers à l'arrivée à Pointe à Pitre |
Le fort a été construit entre 1750 et 1763 à partir de plans dressés par Sébastien Le Prestre de Vauban Il est pris d'assaut par les Anglais le 2 avril 1794. Puis, dans la nuit du 6 au 7 juin, le fort est repris par un bataillon français, mené par Victor Hugues et le général Charles Étienne Rouyer. Aidé d'anciens esclaves affranchis par le décret d'abolition du 4 février, et de colons républicains, le fort résiste aux tentatives de reprises par les troupes anglaises. Ces dernières sont totalement repoussées hors de la Guadeloupe le 11 décembre 1794 En 1801-1802, le fort est renforcé lors des révoltes face au rétablissement de l’esclavage (loi du 20 mai 1802 et révolte de Louis Delgrès). | |
DIVERS | |
Nous fêtons le départ de la Guadeloupe.... au rhum bien sûr ! ! | |
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