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VOYAGE
à la
GUADELOUPE
Du 24 avril 2024 au 27 mai 2024

Itinéraire :
BASSE TERRE
1 semaine à coté de Sainte Rose
1 semaine à Capesterre (Bananier)
GRANDE TERRE
1 semaine Le gosier
1 semaine Le Moule
BUDGET
Avion : Paris - Pointe à Pitre = 636 euros / pers Air France   
Dépenses sur place : 1900 euros pour 1 personne 
Informations touristiques / Sources :

BASSE TERRE

  • Cette parte de l'île est dominée par des précipitations plus importantes qu'en Grande Terre. La végétation u est luxuriante. C'est le secteur des randonnées avec de multitudes cascades
  • Le point important est l'ascension de la la Soufrière
GRANDE TERRE
  • C'est la partie "touristique", les touristes viennent en Gouadeloupe principalement pour les plages 

LA VIE EN GENERAL
  • La vie y est très chère, environ le double qu'en métropôle (pricipalement les produits importés)
  • Il est néanmoins possible de trouver des hébergements à des prix corrects.
  • Les restaurants sont chers
 

BASSE TERRE
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
  • L'hébergement : Les hébergements sur Basse Terre sont moins chers que sur Grande Terre, qui est plus touristique, principalement à Sainte Anne et Le Gosier. Toutefois avec Booking.com, j'ai trouvé des hébergements à des prix plus que correct.
  1. Basse Terre vers Sainte Rose : Au domaine des bougainvilliers
  2. Basse Terre vers Capesterre : Coconut studio 
  • La restauration et la vie au quotidien : Les restaurants sont trés chers et les menus pas trés créole !. Quant aux prix de la nourriture dans les magasins, ils sont trés chers par rapport à la métropole, au moins 50 à 80% de plus, car pour la plupart importés. Le bokit, est le sandwitch typise, à un prix abordable. Le prix du carburant est identique dans toute l'île. On vous sert à la pompe à essence. Le ville la plus  représentative de la culture créole et loin du tourisme est pour moi Le Moule, c'est une ville importante et très bien située au nord de l'île
  • A Basse Terre
  1. La Soufrière 
  2. Les chutes du Carbet
  3. La cascade Bis
  4. La cascade des 3 cornes
  5. Les Mamelles
  6. La cascade des écrevisses
  7. La cascade Acomat
  8. Bouillante
  9. Déhaies
  10. Basse-Terre (ville)
  • Les déplacements J'ai loué un véhicule chez Heliconia pour 29 jours à un prix trés raisonnable.
LA SOUFRIERE

La Soufrière surnommée « vyé madanm la » en créole guadeloupéen, littéralement « la vieille dame » en français, est un volcan en activité situé sur le territoire de la commune de Saint-Claude en Guadeloupe, dans le parc national de la Guadeloupe et la réserve de biosphère de l'archipel de la Guadeloupe, dans le sud de l'île de Basse-Terre. La commune de Basse-Terre, chef-lieu du département et région d'outre-mer, se trouve à une dizaine de kilomètres au sud-ouest et les chutes du Carbet sur son flanc est. C’est le seul volcan actif de l’île, actuellement à l’état de repos éruptif.

Nous n'avons pas eu de chance, nous sommes montés 2 fois au sommet et les deux fois avec la pluie. Il est en effet assez rare (paraît-il) d'avoir du beau temps. Ce fut toutefois une expérience à faire absolument.
Au parking des bains jaunes en arrivant de Saint Claude, prendre le sentier « Le pas du Roy » très bien balisé sur la droite à coté du bassin d'eau chaude. En revenant, que c'est agréable de se baigner dans cette eau chaude très décontractante.
Au parking du haut « Savane à Mulet » (uniquement accessible aux véhicules autorisés), il existe deux sentiers. Idéalement ce serait de prendre « Le sentier des Dames » en montant à la Soufrière et de redescendre par le sentier « Cratère du sud ». C'est une boucle très agréable.

                   

Arrivé en haut, le refuge « de Montagnards » permet de se mettre à l'abri.

LES CHUTES DU CARBET

Il y a 3 chutes du Carbet. Pour y accéder, prendre la route qui monte à Saint Sauver sur la N1. Le départ se situe au parking 1ère et 2ième chutes du Carbet. L'entrée est payante (6 euros). La 3ième chute n'était pas accessible lors de notre séjour. L'accès à la première chute est très bien balisée. Plus de 1000 « marches » avec des passages en rappel, assez difficile. Possibilité de se baigner à la cascade très impressionnante.

La première Chute du Carbet, également connue sous le nom de Grande Chute, offre un spectacle grandiose en deux paliers, avec un saut impressionnant de 115 mètres 
Pour atteindre cette cascade, les visiteurs doivent emprunter un sentier qui traverse une végétation luxuriante, peuplée de fougères, d'arbres de différentes familles, et même de racoon (petits ratons laveurs).
Le parcours, d'une durée comprise entre 3 et 4H selon votre cadence, présente des chemins balisés parfois sauvages, avec des sols glissants en cas de pluie et une rivière à traverser en cours de route. 
L'accès à la plus grande Chute du Carbet nécessite un effort physique à ne pas sous-estimer, raison pour laquelle, cette randonnée est très fortement déconseillée pour les jeunes enfants.

La deuxième Chute du Carbet, haute de 110 mètres, est la plus connue des trois.
Accessible en environ 1H, cette cascade offre une vue magnifique sur ses eaux cristallines dévalant avec grâce.
Le sentier de randonnée offre une promenade relativement courte mais enrichissante à travers la forêt tropicale de notre archipel, permettant aux visiteurs d'admirer la diversité de la faune et de la flore locale.
Cette deuxième chute est parfaite pour les moins sportifs mais également pour les enfants. Avec un sentier entièrement aménagé, seuls de bonnes chaussures, une bouteille d'eau et un enthousiasme certain à découvrir la végétation luxuriante sont nécessaires.

La troisème Chute du Carbet, haute de 20 mètres, se distingue par son débit très important. Il faudra plus de 3 heures pour y accéder.

Malheureusement, en raison d'éboulements de pierres survenus en 2008, son accès est désormais définitivement fermé et interdit par arrêté municipal. Autrefois, atteindre cette cascade nécessitait ± 5H A/R.


Un bon bain dans une eau chaude venue des entrailles de la terre. Excellent après une randonnée

LA CASCADE BIS

Pour accéder, prendre à partir de la commune Le Boucan la direction du village Bis. Passer à gué de la cascade du Petit Boucan, continuer vers la cascade cascade Bis (Grand Boutan). La descente à la cascade se fait en rappel avec une corde, assez difficile surtout si comme pour il y avait de la boue dû aux fortes pluies. En arrivant, du fait de la difficulté, personne, possibilité de se baigner.

LE SAUT DES 3 CORNES

Pour accéder, prendre à à la sortie de Sainte Rose (direction le Boucan). Accès bien balisé sans grande difficulté. Possibilité de se baigner.

LES MAMELLES

Pour accéder, prendre la D23 à partie du nord de Bouillante, commune de Mahault en direction du Zoo du Parc des Mamelles. A 768 m d'altitude, ce qui n'est pas énorme, mais il y a tout de même plus de 800 « marches ». Selon l'état du terrain, c'est plus ou moins facile. Nous l'avons fait en terrain boueux.

LA CASCADE DES ECREVISSES

Pour y accéder, prendre la D23 dans la continuité des Mamelles. C’est le site touristique le plus fréquenté des îles de Guadeloupe ! Située sur la route de la traversée en Basse-Terre, la cascade aux Écrevisses est accessible pour tous en moins de 10 minutes. Elle doit son nom aux écrevisses locales, les ouassous, dont le bassin regorgeait autrefois.
Si vous le souhaitez, une baignade dans le bassin naturel creusé dans la pierre est totalement possible pour se rafraîchir ! En face l'entrée, de l'autre coté de la route, il y a des aires de picnic avec des carbets pour se mettre à l'abri et possibilité de barbecue

LE SAUT / CASCADE ACOMAT

Pour y accéder, depuis Pointe Noire, pas très loin de la plage Caraïbe, le saut d’Acomat, est un joyau naturel de la Guadeloupe. Niché au cœur de la forêt tropicale luxuriante, il offre un spectacle époustouflant aux visiteurs. Pour la descente, il faut faire attention.
Les eaux cristallines qui dévalent la paroi rocheuse, formant une cascade spectaculaire, captivent les sens et apaisent l’âme. Le rugissement puissant de l’eau en chute libre résonne dans la végétation environnante, créant une ambiance envoûtante.

BOUILLANTE

C'est une expérience à faire. se baigner dans une eau à plus de 45 degrès

Cette source chaude coule depuis la centrale géothermique vers la mer.
En plein centre-bourg de Bouillante, sur la plage de galets, les baigneurs profitent des bienfaits de cette eau sulfurée lors d’un bain de mer.

Les eaux sont celles rejetées par la centrale géothermique de Bouillante. Elles sont puisées à plusieurs kilomètres de profondeur sous forme de vapeur. Les vapeurs font tourner les turbines produisant une électricité propre. Les eaux sont refroidies à 45° avant leur rejet dans le canal.

il faudra se garer derrière la station service, vers le stade du bourg et traverser la route pour s’y rendre.

BASSE-TERRE

Le fort Delgrès, anciennement fort Saint-Charles, est un fort français qui domine la ville de  Basse-Terre. Il fut un haut lieu de la lutte franco-anglaise dans les Antilles puis de celle des Guadeloupéens conduits par l'officier mulâtre Louis Delgrès, résistant au rétablissement de l'esclavage confié à Antoine Richepanse par Napoléon 1er.

En 1650, Charles Houël, gouverneur puis seigneur et propriétaire de la Guadeloupe, fait bâtir un "donjon" (tour carrée de 11 m de côté environ et de 3 étages) sur une hauteur dominant la ville de Basse-Terre, alors capitale de l'île. Dans un second temps, il le fait renforcer par la construction d'angles saillants en forme d'octogone, puis il fait ajouter, à l'est et à l'ouest, deux cours entourées de murs2. Cet édifice est un lieu sécurisé mais surtout le symbole de son pouvoir sur la population. Faisant l'objet de transformations successives, le fort Houël de 1667 sera nommé ensuite : château de Guadeloupe en 1700, fort Saint-Charles en 1753, fort Royal (de 1759 à 1763) et fort Matilda en 17944. Il prend, en 1803, le nom de Richepance, mort cette année-là, après que ce dernier a réprimé la rébellion de Louis Delgrès et de ses compagnons d’armes contre le rétablissement de l'esclavage. À nouveau fort Matilda (1810-1814 et 1815-1816), puis Richepanse (1816-1960), il redevient le fort Saint-Charles en 1960, avant de prendre son nom actuel de fort Delgrès en 1989, en hommage à Louis Delgrès, devenu le héros de la lutte l'esclavage

BANANIER

Un hébergement fort sympathique coconut par booking.com


Depuis la côte de Caspesterre, vue sur les Saintes
DEHAIES

Cette ville touristique au nord de Basse Terre est un lieu charmant. Le jardin botanique de Dehaies anciennement propriété de Coluche, offre une évasion au milieu de la nature luxuriante

RANDONNEE DE LA PLAGE DES AMANDIERS VERS L'ANSE VINTY

Une randonnée à l'est de Sainte Rose sur la route de Dehaies. Cette randonnée en bord de côte est très agréable. Les baignades y sont nombreuses

PLAGE MAMBIA

Comme de nombreuses plages, la plage Mambia est assez confidentielle et ce sont principalement les locaux qui y viennent, le soir après le travail

MUSEE DU RHUM - DISTILLERIE REIMONENQ

Cette distillerie est située sur la commune de Sainte Rose. Un très instructif musée du rhum avec de nombreux outils et matériels. Un musée des insectes et des papillons est aussi intégré au musée du rhum

GRANDE TERRE
INFORMATIONS POUR LES ROUTARDS :
  • L'hébergement : Les hébergements sur Basse Terre sont moins chers que sur Grande Terre, qui est plus touristique, principalement à Sainte Anne et Le Gosier. Toutefois avec Booking.com, j'ai trouvé des hébergements à des prix plus que correct.
  1. Grande Terre vers Le Gosier : Appartement douillet 
  2. Grande Terre vers Le Moule : Vacances conviviales le Moule
  • La restauration et la vie au quotidien : Les restaurants sont trés chers et les menus pas trés créole !. Quant aux prix de la nourriture dans les magasins, ils sont trés chers par rapport à la métropole, au moins 50 à 80% de plus, car pour la plupart importés. Le bokit, est le sandwitch typise, à un prix abordable. Le prix du carburant est identique dans toute l'île. On vous sert à la pompe à essence. Le ville la plus  représentative de la culture créole et loin du tourisme est pour moi Le Moule, c'est une ville importante et très bien située au nord de l'île
  • A GRANDE TERRE
  1. Randonnée de la plage du souffleur (Port Louis) à la plage de la Chapelle (Anse Bertrand)
  2. Le Gosier
  3. Le parc archéologique OuabititTibi
  4. Randonnée de l'anse du Beley vers la plage Jolan
  5. Petit Canal
  6. Randonnée de la pointe de la Gourde vers la plage des rouleaux
  7. Randonnée de l'anse Maurice vers l'anse des corps 
  8. Randonnée de la Porte d'Enfer vers la pointe du souffleur
  9. Pointe des chateaux
  10. Pointe à Pitre
RANDONNEE DE LA PLAGE DU SOUFFLEUR (PORT LOUIS) A LA PLAGE DE LA CHAPELLE (ANSE BERTRAND)

Une des plus belles randonnées d'une quinzaine de km A/R en bord de plage aux eaux limpides et chaudes souvent à plus de 30°C.

LE GOSIER

Le Gosier est l'une des principales villes de Grande Terre. Très touristique elle est située à quelques km de Sainte Anne, le spot pour touristes venant passer l'hiver aux Antilles.


L'un des meilleurs stand à Bokits
LE MOULE

Le Moule est l'une des principales villes de Grande Terre. C'est pour moi l'une des plus agréables villes de la Guadeloupe. Peu de touristes, ce qui en fait une ville paisible. Un très agrable marché le mercredi soir où l'on peu acheter des produits locaux à des prix raisonnables.

À proximité du bourg du Moule, le Parc archéologique Ouabitibi-Tibi nous plonge dans l'histoire des Indiens Caraïbes qui ont peuplé les lieux.

Le Parc archéologique Ouabitibi-Tibi ou un voyage dans l'ère précolombienne

Le parc archéologique Ouabiti-Tibi est situé dans le lieu-dit Morel, non loin du centre-bourg du Moule. Il est délimité par les plages des Alizés et Montal et occupe une superficie de 7,5 hectares. Son nom signifie « grenouille » en langue caraïbe. Il s'agit d'un des plus importants sites de fouilles archéologiques de la Caraïbe. Celui-ci est composé de trois espaces : un espace mémorial rendant hommage aux populations amérindiennes ayant peuplé le Nord Grande-Terre avant l'arrivée des colons européens, un centre d'interprétation archéologique qui présente les traditions des Indiens Caraïbes et un espace d'animation avec un parcours sportif et de santé aménagé par la Région Guadeloupe


Musée Edgar CLERC

Le musée départemental d’archéologie amérindienne – Edgar Clerc, présente l’histoire amérindienne de l’île et aux différentes cultures précolombiennes qui s’y sont succédées depuis des millénaires (Huécoïdes, Saladoïdes, Troumassoïdes, Suazoïdes), à travers la présentation des vestiges archéologiques très importants sur tout le territoire guadeloupéen

RANDONNEE DE L'ANSE DU BELLEY PAR LA  PLAGE DE BOIS JOLAN (Ste ANNE) A LA PLAGE PIERRE ET VACANCES 

Cette randonnée en bord de côte est vraiment superbe, très ombragée avec de beaux points de vue

PETIT CANAL

A l’origine le nom est Mancenillier, en relation à l’arbre côtier souvent présent sur les littoraux. L’endroit était a priori insalubre car très marécageux et les habitants se sont rapidement transportés vers le plateau un peu en hauteur.

C’est le creusement au XVIIIème d’un modeste canal permettant le passage de barges vers Morne à l’Eau qui fit nommer la ville « Canal ». Le percement au XIXème siècle du canal de Rotours à Morne à l’Eau fit modifier le nom en Petit Canal, restant « Kannal » en créole.

 La ville est célèbre surtout par sa triste histoire car elle a été le point de débarquement privilégié des navires négriers qui amenaient les esclaves d’Afrique avant de les vendre aux exploitants locaux. C’est un lieu de mémoire, une plongée dans un passé douloureux que tout visiteur se doit d’honorer de sa visite.

Au bout de l’allée venant du débarcadère, les Marches des Esclaves mènent au plateau et à l’église. Cet escalier en pierres de taille porte, en regard de chaque volée de marches, les noms des ethnies africaines d’où étaient originaires les esclaves qui débarquaient en Guadeloupe

En se tenant face à l’escalier, dos à la mer, une route sur la gauche mène vers le Nord. Après quelques mètres apparaît, derrière les arbres sur la droite l’ancienne prison.

Bien que délabré le bâtiment conserve ses principales pièces, ainsi que des barreaux sur des murs. Il s’en dégage une atmosqphère un peu étrange…

Le côté spectaculaire vient du grand Figuier Maudit dont les branches et les énormes racines semblent avoir emprisonné tous les murs et l’intérieur, passant à travers les cloisons comme si la nature voulait éradiquer cette bâtisse.


Musée de peinture
RANDONNEE DE LA POINTE DE LA GOURDE A LA PLAGE DES ROULEAUX

Cette randonnée n'est pas très pratiquée, bien que bien balisée, elle nécessite d'être bien chaussée On abouti à la plage des rouleaux, une plage totalement désertique, que du bonheur de se baigner en tenue d'Adam

RANDONNEE  DE l'ANSE MAURICE VERS L'ANSE DES CORPS

Cette randonnée présente quelques difficultés. Etre très bien chaussé, mais aussi il y a des passages en rappel et des grimpettes hors sentier, faire très attention, ça glisse ! !

RANDONNEE DE LA PORTE D'ENFER VERS LA POINTE DU SOUFFLEUR.... MAIS LES GUÊPES....

Cette randonnée est l'une des plus belle mais aussi l'une des plus longue, à cause d'une attaque de guêpes qui nous a obligé à faire une boucle de 21 km sous la chaleur... il a fallu économiser l'eau qui n'était pas prévu pour un si long parcours.

POINTE DU PITON

LA POINTE DES CHATEAUX
POINTE A PITRE

CENTRE CARIBÉEN D'EXPRESSIONS ET DE MÉMOIRE DE LA TRAITE ET DE L'ESCLAVAGE


Les noms des navires négriers à l'arrivée à Pointe à Pitre 

Fort fleur d'épée



Le fort a été construit entre 1750 et 1763 à partir de plans dressés par Sébastien Le Prestre de Vauban

Il est pris d'assaut par les Anglais le 2 avril 1794. Puis, dans la nuit du 6 au 7 juin, le fort est repris par un bataillon français, mené par Victor Hugues et le général Charles Étienne Rouyer. Aidé d'anciens esclaves affranchis par le décret d'abolition du 4 février, et de colons républicains, le fort résiste aux tentatives de reprises par les troupes anglaises. Ces dernières sont totalement repoussées hors de la Guadeloupe le 11 décembre 1794

En 1801-1802, le fort est renforcé lors des révoltes face au rétablissement de l’esclavage (loi du 20 mai 1802 et révolte de Louis Delgrès).


DIVERS


Nous fêtons le départ de la Guadeloupe.... au rhum bien sûr ! !

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