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ALGER
Sources :
http://www.16alger.com/histoire.htm
http://www.alger-city.com/tourisme/que-visiter/memorial-du-martyr
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sidi-Fredj_%28Tipaza%29
http://www.universalis.fr/encyclopedie/alger/2-l-alger-francaise/

Résumé (antiquité - moyen age) : IVème siècle av J.C, les Phéniciens établirent un comptoir sur la baie d'Alger appelé "Icosim" (l'île aux mouettes), devenu "Icosium" plus tard, sous l'empire romain et le resta en possession romaine jusqu'à l'arrivée des vandales, au milieu du Vème siècle. Elle fut ensuite gouvernée par les Byzantins, jusqu'à ce que les Berbères les chassent. La véritable destinée d'Alger va commencer à s'accomplir au Xème quand l'Emir Bologhine Ibn Ziri décide d'en faire sa capitale et l'appelle en référence à un chapelet d'îlots qui affleuraient dans la baie "El-Djazaïr". C'est à partir de cette période qu'Alger commencera à jouer un rôle commercial dans le pourtour méditerranéen.

Indépendance : Les Algériens célèbrent dans une grande liesse populaire l'indépendance de l'Algérie le 5 juillet 1962. Dirigée par les militaires, Alger devient une capitale du tiers monde ainsi qu'une ville phare du Mouvement des non-alignés pendant la Guerre froide.
Le 5 octobre 1988, Alger s'enflamme, des manifestations réclamant plus de démocratie. 23 février 1989, nouvelle constitution qui consacre le multipartisme entraîna la création plus de cinquante partis politiques.
En octobre 1988, soit un an avant la chute du Mur de Berlin, Alger est le théâtre de manifestations réclamant la fin du système de parti unique, une véritable démocratie baptisées « le Printemps d'Alger » (voir l'article : Émeutes d'octobre 1988 en Algérie). Elles sont réprimées par les autorités (plus de 300 morts), mais constituent un tournant dans l'histoire politique de l'Algérie moderne : en 1989, une nouvelle constitution est adoptée qui met fin au règne du parti unique et voit la création de plus de cinquante partis politiques, ainsi qu'officiellement une libération totale de la presse écrite.
Résumé (Crise des années 1990) : Depuis le début des année 1990, la capitale algérienne est déchirée par un violent conflit opposant certains partis politiques et forces de l'ordre, lesquels s'expriment notamment par des attentats terroristes et des assassinats, jusqu'en 1999.
La ville devient alors jusqu'en 1992 le théâtre de nombreuses manifestations politiques de toutes tendances. En 1991, une formation politique dominée par des conservateurs religieux, le FIS, engage un bras de fer politique avec les autorités qui se solde par des élections législatives qu'elle est en passe de remporter en 1992, à la faveur d'une abstention massive des électeurs algériens désabusés par la tournure des événements. L'annulation du scrutin par les autorités marque le début d'une période de violences opposant les algériens aux ultraconservateurs religieux constitués en groupes terroristes armés, jusqu'en 1999. L'activité économique sociale et culturelle reprend des couleurs à la faveur du calme revenu.
Années 2000 : De nos jours, en 2007, Alger veut redevenir une grande capitale africaine et méditerranéenne, envisageant d'avoir un niveau de développement des infrastructures comparable à celui qu'elle avait en 1962. Elle entreprend une ouverture vers le monde en organisant de nombreuses manifestations et colloques internationaux.
Alger attire ainsi depuis quelques années de grandes multinationales telles que la Société Générale ou Siemens. De nombreux grands projets de réalisation d'infrastructures tels que le métro, le tramway ainsi que divers projets de restructuration urbaine, de création de nouveaux centres urbains satellites, peinent à voir le jour, quoiqu'ils auraient dû être achevés il y a plus de 15 ans : Alger est en pleine expansion urbaine, motivée par un besoin d'affirmation au plan régional dans sa lutte pour concurrencer les autres villes nord-africaines de Tunisie et du Maroc
Pour l'année 2007, Alger est capitale de la « culture arabe ».
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Place des Martyrs
Mosquée Djemaa El Djedid
Place Emir Abdelkader
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Maisons Haussmanniennes sur le port d'Alger
Après la période ottomane, l'arrivée des Français façonnera d'autres paysages de la ville. L'Alger française s'est faite au jour le jour, au hasard des besoins et des spéculations. Dès les premières années de leur présence, les Français redessinent la cité. Ils rasent, rebâtissent la ville basse et son front de mer selon un style néo-classique particulier, où les huisseries et les ferronneries bleues soulignent le blanc éclatant des façades. En 1950, la ville s'étend tout en longueur : constructions presque ininterrompues sur plus de seize kilomètres du nord au sud, de la pointe Pescade à Hussein Dey, et jusqu'à Maison-Carrée. Les constructions de l'époque française détonnent par leur grande diversité architecturale : au style colonial typique succède, à la fin du xixe siècle, un style de construction de type haussmannien. Quelques années plus tard, devant certaines revendications en faveur de l'architecture locale, les bâtiments prennent des allures orientales (style néo-mauresque), tels la Grande Poste (1910). Malgré cette hétérogénéité, Alger reste presque uniformément blanche, portant bien son surnom d'« Alger la blanche ».

Le centre de gravité de la ville est la place du Gouvernement alors dite place du Cheval, en raison de la présence de la statue équestre du duc d'Orléans, qui tournait le dos à la mer. Elle se nomme place des Martyrs depuis l'indépendance. Place populaire et animée, elle abrite notamment Djemaa El Djedid, reconnaissable à sa grande coupole ovoïde terminée en pointe et ses quatre coupolettes, qui fut bâtie en 1660, à l'époque de la régence turque, par les membres de la corporation des pêcheurs. Surnommée mosquée de la Pêcherie, elle donnera finalement son nom au quartier qui l'entoure.
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Rue Didouch Mourad - Rue principale d'Alger
Mourad Didouche (en arabe : ديدوش مراد, Diduc Muṛad), dit Si Abdelkader, né le 13 juillet 1927 à Alger et mort le 18 janvier 1955 à Condé-Smendou (actuelle Zighoud Youcef, wilaya de Constantine), est un militant nationaliste algérien, un des six fondateurs du Front de libération nationale en 1954 et un combattant de la guerre d'indépendance (1954-1962).
Entrée du Métro d'Alger




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Casbah d'Alger
La casbah d'Alger, communément appelée la Casbah (en arabe : القصبة, Al-qaṣabah, « la citadelle »), correspond à la vieille ville ou médina d'Alger, capitale de l'Algérie, dont elle forme un quartier historique inscrit au patrimoine mondial de l'humanité de l'Unesco depuis 1992. Administrativement, elle est située dans la commune de Casbah, au sein de la wilaya d'Alger.
Son histoire remonte à l'Antiquité, où elle est d'abord un port punique, puis berbère et enfin romain. Fondée au Xe siècle par les Berbères sous la dynastie des Zirides, elle est ensuite enrichie par les apports des autres dynasties berbères qui dominent successivement le Maghreb central. Elle atteint son apogée durant la période de la régence d'Alger, du pouvoir politique de laquelle elle est le siège. Colonisée par les Français en 1830, elle est progressivement marginalisée car les centres de pouvoir sont déplacés vers la nouvelle ville. Elle occupe un rôle central pendant la guerre d'Algérie, servant de bastion aux indépendantistes du FLN. À l'indépendance du pays, en 1962, elle ne retrouve pas son rôle central et redevient un espace marginalisé de la ville.
Exemple d'architecture islamique et d'urbanisme des médinas arabo-berbères, elle est aussi un symbole de la culture algérienne, un objet d'inspiration artistique et le siège d'un savoir-faire artisanal ancestral.
Elle est menacée par le manque d'entretien et d’intérêt de ses habitants et de l'administration, malgré son classement par l'Unesco. Des acteurs locaux se battent pour faire vivre son patrimoine matériel et immatériel.
monument mart poste
Mémorial du martyr
Le Mémorial du Martyr est un monument aux morts commémorant la guerre d'Algérie pour l'indépendance. Le monument a été inauguré en 1982 pour le 20e anniversaire de l'indépendance de l'Algérie.
Le monument est situé sur les hauteurs d'Alger, dans la municipalité d'El Madania à proximité du centre commercial El Riadh Feth. Il surplombe le quartier du Hamma (Commune de Belouizdad) et le Jardin d'Essai. Le monument a été érigé sur le site d'un ancien fort militaire.
La construction du monument fût confié à l'entreprise canadienne Lavalin. Plusieurs artistes algériens y participent comme Bachir Yelles et le calligraphe Skander Abdelhamid.
Le monument d'une hauteur de 92 mètres est composé de trois feuilles de palmier qui se rejoignent à mi-hauteur, d'une tourelle de style islamique d'un diamètre de 10 mètres et d'une hauteur de 7,6 mètres et surmontée d'un dôme de 6 mètres. Au bord de chaque feuille de palmier se dresse une statue d'un soldat, chacun représentant une étape de la lutte pour l'indépendance de l'Algérie.
L'ensemble repose sur une esplanade ou brûle une flamme éternelle. Au dessous du monument se trouve notamment une crypte, un amphithéâtre et le musée du Moujahid
Neuf mois (15 Novembre 1981 au 5 Juillet 1982) ont été nécessaires pour construire cette œuvre architecturale.

La Grand Poste
La Grande Poste d’Alger est un édifice de style néo-mauresque, (ou, plus précisément, du style appelé "arabisance") construit à Alger en 1910 par les architectes Henri-Louis dit Jules Voinot et Marius Toudoire1, qui abrite les services de la poste algérienne au cœur de la ville d’Alger en Algérie.
La Grande Poste a été construite à l’emplacement d'une église anglicane construite en 1870.
Jusqu'en 1962, la Grande Poste se situe au cœur du quartier européen d'Alger et à quelques centaines de mètres du siège du Gouvernement Général, au pied du "Forum d'Alger", constant lieu de rassemblement des manifestations en faveur de l'Algérie française. C'est pourquoi, au cours des différentes crises politiques marquant la fin de l'époque coloniale, le bâtiment apparaît régulièrement en arrière-plan des clichés d'actualité de l'époque. Ainsi, des barricades se dressent à quelques mètres du bâtiment pendant la Semaine des barricades, en janvier 1960. Le 26 mars 1962, pendant la fusillade de la rue d'Isly (actuelle rue Larbi Ben M'Hidi) qui fait suite à la signature des accords d'Evian, des dizaines de manifestants pieds-noirs blessés se protègent des tirs de militaires français, en se réfugiant sur le parvis de la Grande Poste.
En Juillet 2015, des travaux sont entrepris à l’intérieur du bâtiment pour transformer la Grande poste en musée sur l’histoire de la poste et des télécommunications en Algérie 2. L’annonce de ce projet avait été fait en juillet 2014 par la ministre de la Poste et des technologies de l’information et de la communication 3
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Le port de pêche Le port de pêche
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Le port de pêche Le port de pêche
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Le port de pêche Le port de pêche
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Le port de pêche Le port de pêche
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PALM BEACH (30 km à l'ouest d'Alger) PALM BEACH (30 km à l'ouest d'Alger)
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SIDI FREDJ SIDI FREDJ
Sidi-Fredj, anciennement Sidi-Ferruch1 (en arabe سيدي فرج), et aussi Sidi-Ferrudj, Sidi-Ferej, est une presqu'île située à 30 kilomètres de la capitale algérienne Alger.
Elle fait partie de la commune de Staoueli.
C'est le lieu historique du débarquement des Français commencé le 14 juin 1830, qui a permis à l'armée française la Prise d'Alger survenue le 5 juillet. Première opération qui a conduit à la destruction du pouvoir des Deys et de la régence d'Alger, dépendance au moins nominale de l'Empire ottoman, ce débarquement est aussi considéré comme le premier acte de la Conquête de l'Algérie par la France.
Dans les années 1970, la baie à l'est de la presqu'île a connu le développement d'un centre touristique attractif, dont plusieurs bâtiments ont été dessinés par l'architecte Fernand Pouillon.
Les divers corps devant constituer l'armée d'invasion se réunissent dans le Vaucluse, les Bouches-du -Rhône et le Var dans le courant d'avril 1830, et s'exercent aux grandes manœuvres en attendant leur embarquement2 . L'armée, sous le commandement du comte de Bourmont est composée de trois divisions, commandées par les lieutenants-généraux Berthezène et Loverdo, et le duc des Cars3. Le génie est commandé par le général Valazé, et l'artillerie par le général Lahitte. Au total, 34 184 combattants (et seulement 500 chevaux de cavalerie), et 3 389 non combattants (40 guides et interprètes, personnel médical, intendance, train, gendarmerie, etc.).

La flotte, commandée par le vice-amiral Duperré, est composée de 100 bâtiments de guerre, dont 7 bateaux à vapeur, de 357 navires de transport nolisés, dont 119 français et 238 étrangers, et de 53 chalands de débarquement transportés sur une flottille de navires de transbordement.
Le matériel à transporter est considérable, et en particulier 82 bouches à feu pour l'artillerie de siège et 30 bouches à feu pour l'artillerie de campagne6. L'embarquement du matériel s'opère fin avril et début mai, et les troupes embarquent du 11 au 18 mai. Après quelques jours de mauvais temps, la flotte quitte enfin Toulon le 25 mai 1830, devant une foule de curieux accourus de la France entière7. La traversée connaît quelques péripéties. A 15 miles des côtes africaines, le 30 mai au soir, et alors que le débarquement se prépare, le temps fraîchit, et l'amiral Duperré décide de virer de bord et de rester au large, puis devant une mer assez grosse, met le cap le 1° juin sur Palma de Majorque, d'où la flotte repart le 10 au matin, et arrive en vue des côtes le 12 juin à 4h du matin. Mais à nouveau le vent se renforçant, l'amiral met cap au nord, et remet enfin le cap sur Alger le 12 à 21 h. Les côtes sont en vue le 13 juin à 4 h, le vent est violent mais on sent qu'il faiblit. La ville apparaît et la flotte se dirige droit dessus, puis brusquement vire tribord, double le cap Caxine, et se dirige vers Sidi-Ferruch.

L'armée navale, qui parvient au mouillage dans la petite baie à l'ouest de Sidi-Ferruch vers la mi-journée9, est composée en trois escadres: une escadre de combat destinée à l'attaque des forts et des batteries pendant que la seconde escadre de débarquement doit mettre les troupes à terre, et une escadre de réserve5. Elle s'attend à une résistance sévère, mais la batterie proche de Torre Chica et de la Zaouïa du marabout Sidi-Ferruch 10 a été totalement désarmée, et une autre batterie à peu de distance se signale par quatre bombes dont une blesse un matelot du Breslaw en éclatant. La fin de la journée approchant, et la défense turque paraissant devoir être sans consistance, le débarquement est repoussé au lendemain11. Alger est informé depuis deux mois par les journaux français que le débarquement s'effectuera à Sidi-Ferruch, mais pensant qu'il s'agit d'une ruse, Ibrahim, agha, et gendre du Dey Hussein, a établi son quartier général à l'est d'Alger, à Bordj-el-Arrach (Maison-Carrée). Pellissier de Reynaud avance que le Dey lui-même aurait décidé de ne pas s'opposer au débarquement, redoutant le feu de la marine contre ses troupes, et pensant que son armée ferait mieux contre les Français dans l'intérieur des terres.
La première division débarque le 14 juin au point du jour, forme ses colonnes, et marche sur son adversaire, retiré à quelque distance sur le sommet d'une ondulation de terrain au sud de Torre Chica, et couvert par trois batteries qui ouvrent le feu dès que les Français avancent, mais leur marche ne faiblissant pas, les Turcs doivent abandonner leurs batteries et faire retraite à quelque distance ; ils tiraillent toute la journée contre la première division qui couvre le débarquement de la seconde, et ces deux divisons établissent leurs bivouacs sur deux lignes. Pendant ce temps, la troisième division débarque, établit ses bivouacs sur le promontoire même de Sidi-Ferruch, et y commence les travaux d'un camp retranché en établissant une coupure bastionnée. séparant le promontoire du continent. Ces travaux dureront huit jours. Les troupes débarquées, commence le débarquement des ravitaillements et du matériel, où manque cependant l'artillerie de siège dont les navires de transport ne sont pas encore rendus à bon port et se feront attendre plusieurs jours, motivant chez le comte de Bourmont un attentisme qui aura quelques suites fâcheuses pour ses troupes.
Suite des opérations

Du 14 au 19 juin, les troupes françaises conservent leurs positions, sous le feu de tirailleurs dont les armes avaient plus de portée que les leurs. Cependant, les « fusils de rempart » (150 avaient été embarqués à Toulon) et l'artillerie français permettent de maintenir la position, pendant que le débarquement du matériel se poursuit, seulement interrompu le 16 par une tempête qui fait craindre un instant aux Français que l'expédition soit compromise. Le camp retranché continue de s'établir sur la presqu'île de Sidi-Ferruch, en faisant presque une ville14. Dans le même temps, une partie de la milice turque est arrivée d'Alger sous les ordres de l'agha, et se renforce en établissant quelques batteries au centre de ses positions. Pellissier de Reynaud estime les forces adverses à 20 000 hommes tout au plus15. Le soir du 18 juin, le général Berthezène est averti16 qu'il sera attaqué le lendemain. En effet, le 19 au matin, toute la ligne française est attaquée par un feu de tirailleurs et d'artillerie de campagne. Ce feu dure plusieurs heures, et les généraux, qui n'avaient point d'ordre de passer à l'offensive, sollicitent Bourmont de venir sur le champ de bataille pour juger de la menace17. Il ordonne l'assaut, et les colonnes françaises enfoncent les forces de la Régence, qui se débandent en abandonnant leur artillerie, et sont poursuivies jusqu'à leur camp établi à Staoueli, qui est pris. Le bilan de cette « bataille de Staoueli » serait de 3 000 à 4 000 hommes des peuples de la Régence tués, et de 600 Français tués ou blessés.
La suite des opérations qui conduiront à la prise d'Alger sort dorénavant de l'espace de Sidi-Ferruch.
Dès le 7 juillet, ordre est donné pour que le camp retranché de Sidi-Ferruch, devenu sans utilité, soit désarmé, et ses redoutes abandonnées : ce qui est achevé le 29 juillet19.
La Trappe de Staouëli
Les moines trappistes de Staouëli, avec l'aide du Gouvernement français et en particulier du Général Bugeaud, fondent sur un lit de boulets de canons de la bataille de Staouëli - Sidi-Ferruch une trappe (1843-1904) ayant pour devise la devise d'inspiration coloniale : Par l'épée, la croix et la charrue ( « ense, cruce et aratro. » ).
Article détaillé : Abbaye de Staouëli.
Débarquement anglo-américain de novembre 1942
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L'indépendance
Le 5 mai 1930, un stèle de 15 m. de haut avec un bas-relief symbolisant sous les traits de deux femmes l'union de la France et de l'Algérie commémorant le centenaire de la présence française réalisé par Émile Gaudissant est inauguré par le président Gaston Doumergue. Lors de l'indépendance de l'Algérie, ayant appris que le Front de libération nationale voulait détruire celui-ci, une groupe de sous-officiers et d'officiers du 3e régiment de parachutistes d'infanterie de marine récupère les fresques dans la nuit du 5 au 6 juillet 1962 et jette les gravats à la mer. Celles sont désormais installé à Port-Vendres20.
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